Exposé de certaines croyances erronées des chiites d'après leurs propres sources:

tiré de http://www.jamiat.org.za/shia_fal.html

 

Concernant la prophétie de Mohammad:

L'Imam Khomeini a écrit dans son livre 'Al Hukumatul Islamiyah' (52):

"C'est un principe nécessaire de notre foi de penser que nos Imams sont situés à un rang supérieur aux anges proches d'Allah et supérieur aux prophètes."

Concernant les Compagnons les plus proches du prophète:

Le Mullah Muhammed bin Yaqoob Kulaini, le savant de hadith Chiite le plus proéminent site l'Imam Baqir comme ayant dit:

Abu Bakr et Omar ne se sont pas repentis avant de mourir. En fait, ils n'ont même pas mentionné ce qu'ils ont fait à Ali. Donc qu'Allah, Ses anges et tous les êtres humains les maudisse.' (Furu'ul Kafi: Kitabul Rauda: 115)

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Le Mullah Baqir cite l'Imam Ali-ul-Naqi:

L'Imam Ali-ul-Naqi fut questionné sur la façon de reconnaître le groupe Nasibi (ceux qui préfèrent Abu Bakr et Omar à Ali): Est-il suffisant de savoir qu'ils (les Nasibis) préfèrent Abu Bakr et Omar à Ali et en plus acceptent la légitimité de l'Imamat d'Abu Bakr et de Omar ? L'Imam répondit que quiconque pensait ainsi était un Nasibi. (Ibid: 521)

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Le Mullah Baqir a écrit:

'Concernant la doctrine de 'Tabari' nous croyons que nous devons chercher refuge contre quatre idoles nommés Abu Bakr, Omar, Uthman et Mu'awiyah; contre quatre femmes nommées Aisha, Hafsa, Hind et Ummul Hakam, ainsi que tous leurs proches et descendants. 'Ce sont les pires créatures d'Allah. Il n'est pas possible de croire en Allah, en Ses Messagers et en les Imams sans chercher refuge contre leurs ennemis. (Haqqul Yaqeen: 2:519)

La doctrine de 'Tabari' consiste à ne pas s'associer avec les ennemis de Dieu.

Le Mullah Baqir a aussi écrit :

'Après chaque prière, tout le monde doit dire: O Allah! Maudit Abu Bakr, Omar, Uthman, Mu'awiyah, Aisha, Hafsa, Hind et Ummul Hakam.' (Aynul Hayat: 599)

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Le Mullah Baqir citant l'Imam Zainul Abideen, dit:

Une personne questionna l'Imam à propos d'Abu Bakr et de Omar.

L'Imam répondit: "On m'a informé qu'ils étaient tous les deux mécréants et que tous ceux qui les apprécient (en pensant du bien d'eux) sont aussi des mécréants." (Ibid: 2:522)

Concernant certaines pratiques répugnantes:

Le Mullah Fathullah Kashani, un savant Chiite de confance écrit, a propos de Mut'ah:

Le Prophète (pbsl) a dit "Celui qui pratique la mut'ah une fois atteindra le statut de Hussain. Celui qui la pratique deux fois obtiendra le statut de Hassan. Celui qui la pratique trois fois obtiendra le statut de Ali et quiconque la pratique quatre fois atteindra mon statut." (Tafseer Manhajul Sadiqeen: 1:356)

La Mu'tah est le mariage temporaire, où les 2 partenaires se marient pour une durée indéterminé dans un contrat, qu'il s'agisse de 2heures, 10, 2 jours, 2 mois, un an ou davantage et ce n'est rien d'autre qu'une forme de prostitution librement consentis.

 Dans ce type de mariage, la femme n'a pas le statut d'épouse. La Mut'ah est permise et très bien vue dans le Chiisme, mais est interdite et source de péchés dans le Sunnisme.

Les chiites n'hésitent pas à inventer de faux hadiths ou de faux commentaires de versets qoraniques pour arriver à leurs fins politiques et assouvir leurs passions sous un couvert de légitimité religieuse.

"Aïsha était connue pour son exigence concernant la transmission de la Tradition prophétique.
Elle veillait scrupuleusement à ce que la narration du hadîth se fasse de la façon la plus exacte. Elle refusait tout ajout ou retrait aussi insignifiant soit-il dans le texte du récit car cela pouvait entraîner - à ses yeux - une modification dans le sens ou dans
le contenu du hadîth et créer une ambiguïté dans la compréhension globale du hadîth.

C'est encore Âïsha qui a rapporté un célèbre hadîth du Prophète où il est dit :

« Celui qui introduit dans notre sunna une opinion
qui n'y existait pas, celle-ci sera rejetée.
»

C'est profondément convaincue de la nécessité de se soumettre au principe fondamental de ce hadîth que Âïsha entreprendra sa stricte expertise
de la Sunna. Elle soumettait tout hadîth à une étude consciencieuse et attentive en se basant sur les deux premières sources de l'islam : le Coran et la Sunna.


En effet, la première source étant le Coran, tout ce qu'elle étudiait, transmettait, corrigeait ou reproduisait devait être en profonde concordance avec cette source. Évaluer le hadîth à l'aune du Coran était son souci majeur, ce qui la poussait à refuser certains hadîths qui ne respectaient pas, selon elle, cette
condition.

C'est ainsi que certains récits de la Tradition prophétique transmis par les compagnons ont été contestés par 'Âïsha du fait de leur contradiction avec le Coran.

 L'exemple en est donné par son rejet catégorique du mariage de « jouissance » (mut'a) qui se fait selon un contrat limité dans le temps.

Lorsqu'on l'interrogea à ce sujet, 'Âïsha répondit :

« Entre vous et moi, il y a le Coran » et elle cita le verset suivant :

« Certes ceux qui ont réussi parmi les croyants sont ceux qui gardent leur chasteté sauf pour leurs conjoints... »... jusqu'au verset : « Quant à ceux qui cherchent au-delà de ces limites sont des transgresseurs. » Coran 23/5-7

 (tiré du livre de A Lamrabet " Aïsha, ou l'Islam au féminin ", p 79-80)