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Homo habilis n'existe pas ! Son existance n'a été confirmée que grâce à une fraude habile, dévoilée par Timothy Bromage en 1992, à l'aide d'une simulation assistée par ordinateur, lors d'études sur le visage humain. |
" La paléoanthropologie est condamnée à échafauder des hypothèses sur des éléments très fragmentaires et des données dont la fiabilité est parfois incertaine...Un bel exemple est fourni par Timothy Bromage, un anthropologue britannique qui s'est attaché à la reconstitution du crâne KNMER 1470". (Science et Avenir n°569 de juillet 1994, p32)
"Ce fossile découvert en 1972 par Richard Leakey sur les bords du lac Turkana, au Kenya a permis de confirmer l'existence d'Homo habilis (c'était, à l'époque, le crâne le plus complet de cette espèce). Il arborait une voûte crânienne largement bombée et une face très plate (d'aspect donc humaine). A priori. Jusqu'à ce que Tim Bromage se penche sur l'étude d'un angle particulier du crâne des primates, celui qui relie, à partir du conduit auditif, les extrémités antérieure et postérieure de la machoire supérieure. Ses calculs indique une fourchette au sein de laquelle se situent tous les crânes de primates. KNMER 1470 présente une valeur de cet angle radicalement hors normes. Une constitution qui respecte la valeur maximale que peut prendre cet angle donne aspect beaucoup moins humain à ce crâne que lors de la première reconstruction." (Science et Avenir n°569 de juillet 1994, p32) En fait, Tim Bromage a été beaucoup plus loin dans ses conclusions que ne le laisse sous-entendre la revue scientifique française Science et Avenir...
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Et oui, voici ce qui ressort des propos de timothy Bromage:
Les Australopithèques sont des singes, de même les Homo habilis.
La petite histoire secrète d'Homo habilis !
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Homo habilis n'existe pas ! Il s'agit en fait d'australopithèques habiles. |
Harun Yahya explique dans son livre "le mensonge de l'évolution", p102, l'origine d'homo habilis:
c'est-à-dire comment un singe a été présenté comme un humain !
"La grande similitude qui existe entre les structures squelettiques et crâniennes des Australopithèques et des chimpanzés en plus de la preuve établie que ces créatures ne marchaient pas debout, a causé d'énormes difficultés aux paléoanthropologues.
Car, selon la machination imaginée par les évolutionnistes, l'Homo Erectus vient après l'Australopithèque. Comme le préfixe "homo" (c'est-à-dire humain) l'indique, Homo Erectus est une catégorie humaine et son squelette est droit. Sa capacité crânienne est deux fois plus grande que celle de l'Australopithèque. Une transition directe à partir de l'Australopithèque, qui est un singe ressemblant au chimpanzé, vers l'Homo Erectus qui a un squelette similaire à celui de l'homme de nos jours, est tout à fait invraisemblable même selon la théorie de l'évolution. Par conséquent, "les liens" en l'occurrence les "formes transitionnelles" sont nécessaires. C'est de cette nécessité qu'est né l'Homo Habilis."
" C'est durant les années 60 que la classification de l'Homo Habilis a été avancée par la famille Leakeys, qui est une famille de "chasseurs de fossiles". Selon les Leakeys, cette nouvelle espèce qu'ils ont classifiée comme Homo Habilis est dotée d'une capacité crânienne assez large, de la possibilité de marcher debout et d'utiliser des instruments fabriqués en pierre ou en bois. Ainsi, cette espèce aurait pu être l'ancêtre de l'homme."
" Les fossiles de cette même espèce, découverts au cours des années 80 allaient complètement changer cette donne. Certains chercheurs tels que Bernard Wood et C. Loring Brace se basaient sur ces fossiles trouvés récemment pour déclarer que l'Homo Habilis, qui signifie "l'homme capable d'utiliser des outils" devait être classé parmi les Australopithèques Habilis, en l'occurrence "le singe sud-africain capable d'utiliser des outils". Car l'Homo Habilis partageait plusieurs caractéristiques avec les singes appelés Australopithèques. Il avait les mains longues, les jambes courtes et un squelette similaire à celui des Australopithèques. Ses doigts et orteils étaient parfaitement adaptés à l'escalade. Sa structure mandibulaire était très similaire à celle des singes de nos jours. La capacité crânienne moyenne de l'Homo Habilis était de 600 cm3 ce qui indique qu'il s'agissait bien d'un singe. Bref, l'Homo Habilis, qui fut présenté comme une espèce différente par certains évolutionnistes, était en fait une espèce de singe comme tous les autres Australopithèques."
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Voici les fiches d'identité des prétendu ancêtres de l'Homme dont les premiers représentants sont appelés homo érectus, donné dans un livre de 1ière L, édition 2001 Hachette.
La conclusion de l'article "un os dans les théories" parue dans Science et Avenir n°569 de juillet 1994, révéle de manière voilée que tous les efforts pour apparenter l'Homme aux singes n'est qu'un conte qui n'est en aucune façon confirmé par la science.
"""Il est grand temps que les spécialistes fassent preuve de l'humilité qui sied au savant et avouent sans honte aux écoliers et aux curieux de tous horizons qu'ils savent fort peu de choses sur l'origine de l'homme, qu'ils se posent plus de questions qu'ils n'ont de réponses étayées, mais que les fossiles n'ont pas encore révélé tous leurs secrets." Science et Avenir n°569 de juillet 1994 (p32) |
En fait, les fossiles sont: on ne peut plus clairs !
Il n'y a jamais eu d' "ancêtres humains" à travers l'histoire. Les créatures présentées en tant que tels sont en réalité des singes qui doivent être classés dans le genre Australopithèque. Les archives fossiles démontrent qu'il n'existe aucune relation évolutive entre les singes disparus et l'Homo, l'être humain, qui apparaît soudainement dans les archives fossiles. |
Tous les efforts entrepris pour démontrer que les Autralopithèques sont liés à notre origine ont échoués !
De même que tous les efforts entrepris pour démontrer que les Homo habilis sont des ancêtres de l'Homme ont échoué !
Rappelons par exemple, que l'étude des canaux semi-circulaires de l'oreille des homo habilis a prouvé que ces derniers n'avaient pas une bipédie proche de la notre selon les prétentions des évolutionnistes, mais au contraire, ils se déplaçaient comme les singes. L'étude des canaux semi-circulaires de l'oreille des Autralopithèques a prouvé qu'ils étaient quadrupèdes comme les singes...
Il n'existe pas de forme intermédiaire entre l'Homme (dont homo erectus est le plus ancien représentant) et l'Australopithèque: ce prétendu ancêtre de l'Homme qui a tout du singe quadrupède comme nous l'avons vu et rien d'un Homme bipède.
Non seulement, Homo habilis n'est pas bipède, mais il n'est pas doué de parole non plus.
Ce fait a été confirmé par une étude de deux anthropologues évolutionnistes, Bernard Wood et Mark Collard, publiée en 1999 dans la revue Science. Wood et Collard ont expliqué que les catégories de l'Homo Habilis et de l'Homo Rudolfensis (le crâne 1470) étaient imaginaires et que les fossiles qui leur ont été attribués doivent correspondre au genre Australopithèque: |
"Plus récemment, des espèces fossiles ont été attribuées à l'Homo sur la base d'une similitude absolue de la taille du cerveau, les interférences au niveau de la capacité linguistique et de la fonction des mains, ainsi que leur capacité à façonner des outils en pierre. Sauf rares exceptions, la définition et l'utilisation du genre dans le cadre de l'évolution humaine et la délimitation de l'Homo n'ont jamais été considérées comme des notions problématiques. Toutefois, les données récentes, les nouvelles interprétations des preuves disponibles, et les limites des archives paléoanthropologiques réfutent les critères actuels qui régissent l'attribution des taxa à l'Homo… En pratique, les fossiles des hominidés sont classés en tant qu'Homo sur la base d'un critère ou plus sur quatre… Il est évident maintenant qu'aucun de ces critères n'est satisfaisant. Le "Rubicon cérébral" pose problème car la capacité crânienne absolue n'a pas beaucoup de sens sur le plan biologique. De même, il existe des preuves irréfutables que la capacité du langage ne saurait être déduite de l'apparence grossière du cerveau et que les parties cérébrales dont dépend le langage ne sont pas si bien localisées comme l'avaient laissé entendre les études précédentes… …En d'autres termes, avec les hypodigmes de Homo Habilis et Homo Rudolfensis qui lui sont attribués, le genre Homo n'est pas un bon genre. Ainsi, H. Habilis et H. Rudolfensis (ou Homo Habilis au sens large pour ceux qui n'adhèrent pas à la subdivision taxonomique du "premier Homo" DOIVENT ETRE RETIRES du genre Homo. L'alternative taxonomique évidente, en l'occurrence le transfert d'une ou des deux taxa à l'un des premiers hominidés (hominin genera) existants, n'est sûrement pas dénuée de problèmes. Mais, NOUS RECOMMANDONS QUE, POUR LE MOMENT, HOMO HABILIS ET HOMO RUDOLFENSIS SOIENT TRANSFERES AU GENRE DES AUTRALOPITHEQUES." (Bernard Wood, Mark collard, "the human genus, science, vol 284, n°5411, 2 avril 1999, p65-71) |
Pour conclure,
les classifications comme Homo Habilis ou Homo Rudolfensis qui sont présentées comme des liens transitionnels entre les Australopithèques et les Homo Erectus sont totalement imaginaires. Comme beaucoup de chercheurs l'ont confirmé récemment, ces êtres vivants sont membres de la série Australopithèque. Toutes leurs caractéristiques anatomiques démontrent qu'ils sont tous membres d'une espèce de singe ou d'une autre. (Alan Walker, scientific American, vol 239(2), 1978, p54)