Les évolutionnistes ont osé décrire et dessiner les Ramapithèques, leurs familles et l'environnement dans lequel ils ont vécu...sur la seule base d'un os de machoire incomplet...aucun commentaire n'est utile sur la crédibilité de ce prétendu ancêtre...ou singe évolué !!
Les évolutionnistes ne considèrent d'ailleurs plus les Ramapithèques comme notre ancêtre :
"ils ont été reconnus comme n'étant rien d'autres que des singes ordinaires et ont été exclus de l'arbre généalogique humain", ainsi que la revue "Science" d'avril 1982 le précise. (cf l'article "Humans Lose an Early Ancestor" de D Pilbeam, p6-7 de la revue "Science" d'avril 1982)
Plusieurs millions d'années plus tard, arrive l'Australopithèque.
Il se tient debout et utilise des outils en pierre.
Les recherches effectués en 1994 sur les canaux semi-circulaires de l'oreille interne des Autralopithèques ont en fait établi que l'Australopithèque avait une posture courbée comme les singes modernes !
On a par ailleurs démontré (cf les études de simulation informatique en 1996 effectuées par R Crompton) qu'il était impossible à un singe quadrupède (marchant sur 4 pattes) de se redresser pour faire de longues enjambées -du fait de son squelette courbé- ,qu'il soit un australopithèque ou un quelconque autre primate, à cause de la grande dépense d'énergie occasionnée !
En définitive, il (l'Australopithèque) n'était qu'un singe ordinaire qui ne pouvait pas se tenir debout pour faire de longues enjambées ...
Le premier homme fait son apparition.
Il invente le premier outil à partir d'un galet.
On l'appelle "Homo Habilis", ce qui veut
dire "homme habile".
On a vu qu l'Homo Habilis ne pouvait pas non plus se tenir debout et que les scientifiques le classent en fait -à l'instar de l'Australopithèque- comme une ancienne espèce de singe éteinte...
Il n'a jamais construit d'outils ... mais utilisait des galets pour extraire la moelle d'un os ... , ce qui a incité les scientifiques à le qualifier d'Australopithèque "habile" à l'instar des Grands Singes modernes !
Clique sur l'Homo Habilis ci-dessous pour mieux le découvrir.
Vers 500 000 ans, Homo Erectus découvre le feu en frottant deux morceaux de bois ou en frappant un silex.
On a vu qu'il est impossible de reconstituer le faciès ou la musculature d'un être vivant à partir de son squelette...(on ne dispose pas de données sur la forme de la chair recouvrant les os...)
Rien n'autorise les scientifiques à représenter l'Homo érectus (dont le squelette droit prouve qu'il s'agit d'un Homme) avec une tête de "singe" comme sur la reproduction ci-dessus...
Successeur de l'Homo Erectus, l'Homo Sapiens, "homme qui pense", est apparu il y a environ 100 000 ans.
Les Hommes appelés "Hommes préhistoriques", c'est-dire ayant vécu avant la découverte de l'écriture ont toujours fait preuve de grande intelligence, celle de l'intelligence humaine ! C'est grâce à cette intelligence qu'ils ont pu sans cesse améliorer les techniques utilisées.
Pour
plus de détails, lire "L'intelligence des Hommes
préhistoriques"
Ce n'est pas parce que les Hommes ont sans cesse développé des techniques plus complexes que pour autant on peut conclure qu'ils sont devenus plus intelligents.
C'est plutôt grâce à l'apprentissage et à la transmission des connaissances aux générations suivantes, que la culture et les techniques ont pu changer au cours du temps et s'enrichir des expériences des Hommes précédents.
" Les inventions d'aujourd'hui sont le fruit des connaissances accumulées par tous les Hommes au cours des siècles " (source: Wapiti n°154 de Janvier 2000)
Le fait que l'homme de Neandertal soit le premier être humain à enterrer ses morts de manière rituelle laisse sous-entendre qu'il (l'homme de Neandertal) est le 1er Homme religieux !
C'est ainsi que la revue "Le monde des ados" Hors Série n° 1 consacré aux grands dossiers "C'est pas sorcier" de décembre 2005, p27, affirme -à propos des sépultures de l'homme de Neandertal présenté comme le 1er Homme à enterrer ses morts- que "les rituels de sépulture sont souvent liés à l'idée d'une vie après la mort donc à la naissance des religions".
Sauf en Europe(cf "L'homme de Neandertal dans les Vosges", BT2 n°54, éd PEMF, p 14), l'homme de Neandertal n'est pas le 1er être humain à enterrer ses morts !
En effet (cf "Cro-Magnon" de P Picq et M Coudeyre, éd Mango jeunesse, collection Regard d'aujourd'hui, 2000, p 20), "c'est au Proche-Orient que l'on trouve les plus anciennes sépultures".
"La plus ancienne sépulture connue -on a pu la dater de 92 000 ans- a été découverte près de Nazareth en Israël. Au moins trois morts avaient été inhumés là, à l'entrée de la grotte de Qafzeh . . . Moins ancienne puisqu'elle ne daterait que d'environ 50 000 ans, une autre sépulture a été trouvée à 35 km de là, dans la grotte de Skhül, près du mont Carmel. Une autre encore était toute proche : celle de Kebara, qui remonterait à environ 60 000 ans. C'est aussi l'âge que l'on donne aux sépultures de Shanidar, en Irak, où un enfant de 9 ans a peut-être été enterré couvert de fleurs (on a trouvé des pollens). Qui étaient ces inhumés ? A Qafzeh et à Shkül, ce sont de hommes modernes, des Homo sapiens. A Shanidar et Kebara, il s'agit de néandertaliens. Dans l'étal actuel des découvertes, ce seraient donc les hommes modernes de Qafzeh qui auraient les 1ers enseveli leurs morts".
(d'après "Atlas des 1ers Hommes" de Henri de St Blanquat et de Benoit Clarys, éd Casterman, 1998, p 52)
| LA VOLONTÉ D'ENTERRER |
| "Comment déterminer, quand on retrouve des restes humains, s'ils ont été inhumés, enterrés volontairement ? N' auraient-ils pas pu aussi bien avoir été laissés au lieu même de la mort, sans aucune cérémonie ? Sans doute, et bien des restes présentés comme "ensevelis" ne l'ont peut-être pas été. Mais trois éléments permettent de rendre la sépulture probable ou certaine. D'abord, le fait que le squelette ait été retrouvé à peu près complet, avec des os de connexion. Cela veut dire qu'il a été protégé, à la fois des animaux et des intempéries qui en auraient dispersé les os. Ensuite, il arrive que la fosse soit restée visible : le remplissage tranche sur le sol environnant. Dernier élément : les objets déposés dans la tombe aux cotés du défunt. Ainsi a-t-on quelque chance de ne pas se tromper en disant que les hommes de Qafzeh (Israël) ou ceux de La Ferrassie (France) ont bel et bien été volontairement, et religieusement, enterrés il y a 90 000 ou 40 000 ans." |
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(d'après "Atlas des 1ers Hommes" de Henri de St Blanquat et de Benoit Clarys, éd Casterman, 1998, p 53) |
A la question : "quel est le 1er Homme à avoir pensé à une vie après la mort", P Picq répond :
"On ne peut pas trancher cette question entre les Neandertaliens ou les Proto-Cro-Magnon (signalons que les hommes modernes de Qafzeh ou de Skhül sont qualifiés de Proto Cro-Magnon). En fait, il y a fort à parier sur la tête d'Homo erectus que les pratiques funéraires sont plus anciennes et remontent à l'ancêtre commun de ces 2 hommes. Il s'agit alors des Homo heidelbergensis ou des Homo erectus les plus récents. C'est ce que semble indiquer la concentration de squelettes dans la grotte de Gran Dolina en Espagne, une sorte de chapelle ardente où on a déposé soigneusement des corps datés de 300 000 ans. les hommes anciens se préoccupent de la vie après la mort depuis plus de 100 000 ans."
(d'après "Cro-Magnon" de P Picq et M Coudeyre, éd Mango jeunesse, collection Regard d'aujourd'hui, 2000, p 20 et p 23)
Cela dément la fausse prétention des adeptes de l'évolution -à savoir que la religion serait d'origine humaine- et que l'homme préhistorique -un primate qui aurait apprit à marcher, à parler et à réfléchir sur notre passé, notre avenir et le sens de notre vie aux yeux des adeptes de l'évolution (cf "Sc & Vie Junior n°167 d'août 2003, p65 et Wapiti n°181 d'avril 2002 p9) - ne s'occupait pas du sens de son existence et n'imaginait pas un au-delà ni un être suprême à l'origine de notre existence.
Vers 35 000 avant Jésus-Christ, un autre type d'Homo Sapiens apparaît :
l'homme de Cro-Magnon.
Il représente le dernier stade de l'évolution humaine et il est notre ancêtre
direct.
En réalité, l'évolution humaine -celle du genre Homo- n'est -en l'état actuel des connaissances scientifiques- aucunement prouvée, citons pour preuve les propos de Hélène Rougier, post-doctorante au département d'anthropologie de l'université Washington de St Louis aux États-Unis :
"De nombreuses différences attribuées à des stades évolutifs distincts -il s'agit ici, rappelons-le, de l'évolution du genre Homo-, voire considérées comme caractéristiques d'espèces particulières, relèvent peut-être plus simplement de la variabilité à l'intérieur d'une population, qui est une donnée biologique normale".
(d'après "Les Dossiers de la Recherche" n°24 d'aout 2006; "Sur les traces des premiers Européens" de H Rougier p 40-44)
Quoi qu'il en soit, aucun fait scientifique n'a jusqu'ici -contrairement aux allégations mensongères des revues de vulgarisation scientifique- pu prouver la prétendue évolution de l'Homme à partir d'une forme primate simiesque pour la bonne -et simple- raison qu'elle n'a jamais du -ou pu- avoir eu lieu !
A la source du mensonge le manque de sincérité de l'Homme et sa propension à assouvir ses passions.
ou
Exemple qui montrent combien l'Homme est partisan. et de parti prix. La neutralité est la neutralité dans les actes, mais jamais dans le cœur.
