Pourquoi enseigne-t-on la théorie de l'évolution ? |
. . . alors que certains scientifiques découvrent que les probabilités pour que la vie soit apparue par hasard sur Terre sont extrêmement infimes et que le hasard est difficile à croire ! . . . |
Certains Hommes disent que l'univers et la vie sont le produit d'une évolution par le hasard (au lieu d'une Création parfaite et orientée) et que l'être humain est apparu au terme d'une série de phases animales antérieures.
" Le professeur Mominia a dit dans la revue "le cosmos" en 1893 dans une étude où il démontre l'existence de Dieu : "Si, par une méthode s'élevant au-dessus de la portée de notre cerveau, nous supposons que l'univers a été créé par hasard et sans l'oeuvre d'un être capable d'agir, doué de volonté et libre de choisir, et si nous supposons que les hasards répétés sont parvenus à faire un homme, est-il pensable que ces mêmes hasards créent un autre être lui ressemblant parfaitement dans sa forme apparente et différent de lui dans sa conformation interne à savoir la femme et ce dans le but de peupler la terre par les humains et pour en perpétuer la lignée ?" (cité par H Ayoub dans "Clarification de la foi musulmane", p 50)
Il ajouta : "Est-ce que cela à lui seul n'indique pas que dans l'existence il y a un créateur doué de volonté et libre de choisir qui a créé les êtres sans modèle précédent, qui en a fait des espèces diverses, a implanté dans chaque espèce des instincts et l'a fait jouir de dons naturels sur lesquels repose son existence et qui lui permettent de se perfectionner ?"
Cet argument sur lequel le professeur attire l'attention est en fait extrait des
paroles de Dieu exalté dans le dernier Livre Saint parvenu à l'humanité:
"Parmi
Ses signes est qu'Il vous a créé à partir de vous-mêmes des épouses afin que vous trouviez auprès d'elles le calme et le gîte
et qu'il a établi entre vous des liens de
tendresse et de miséricorde." (Qoran:
S 30,
v 21)
comme étant
une vérité scientifique plus rationnelle que la foi en Dieu -Le Créateur-
alors
qu’elle n’est en réalité rien d’autre qu’un dogme !
Soit une lutte idéologique destinée à faire croire sous une apparence scientifique que l'Homme est le fruit de la nature.
. . . L'évolution de l'Homme à partir de créatures qui ressemblent aux singes est un leurre . . . |
En effet, si la science ne fournit aucun argument appuyant la création de l'homme ou des autres créatures -elle ne fournit pas, non plus, d'arguments allant à son encontre-, la science n'a en aucune façon apporté le démonstration -c'est-à-dire la preuve par des faits scientifiques dûment établis- de la descendance des hommes et des singes à partir d'un ancêtre commun. |
Dieu, dans le Qoran,
nous apprends la création du premier Homme Adam
à partir du néant par l'ordre divin: "Soit !" dans le verset 59 de la sourate 3,
ce qui implique que tous les êtres humains ont les mêmes parents
-nous sommes, selon l'expression coranique, les fils d'Adam-
soit un ancêtre propre et distinct des animaux !
Les mécréants (ceux dont le cœur restent voilés face aux signes de Dieu; comme le fait remarquer avec justesse Mr A Lala dans son article n°358 et intitulé "croire en la création de Adam est-il anti scientifique" : "pour nous musulmans, de 2 choses possibles du point de vue de la raison pure -ici, le rattachement de l'espèce humaine a une lignée commune aux humains et aux singes, l'évolution étant considérée comme le facteur ayant donné naissance aux uns et aux autres par l'effet du hasard des mutations/sélections ou la création par Dieu d'une lignée humaine autonome- nous choisissons celle qui est conforme à ce que nous souffle en amont notre coeur, lui même s'abreuvant aux sources de la révélation")
mentent au sujet de leur création:
ils affirment -en dépit de toute preuve scientifique réelle- que les singes sont leurs parents ou cousins !
Ils veulent faire croire que le premier Homme n'est pas Adam mais un
animal évolué qui possède un ancêtre commun avec le singe...
Les Hommes ignorants,
s'imaginent que la science est la preuve de leurs affirmations,
et choisissent de faire plus confiance aux Hommes qu'en leur Créateur,
sans vérifier si les Hommes mentent ou pas, sans chercher à lever la tête devant les signes de leur Créateur...
Lire " L'Homme n'a aucune parenté avec le singe " pour découvrir la fausseté de ce que les incroyants présentent dans leurs livres, leurs reportages et même dans leurs écoles, comme une vérité scientifique.
A l'aide des dessins comme ci-dessous,
on fait croire aux gens que la science a prouvé la parenté de l'Homme avec les singes (primates) :
Cette illustration ne représente aucunement la synthèse des découvertes scientifiques: ce n'est rien de plus qu'une hypothèse (idée ou théorie de l'évolution de l'Homme) mise en dessin !
Quelle différence entre un fait scientifique et une théorie scientifique ? | |
- une preuve scientifique tient dans l'observation d'un fait. Or, un fait d'observation vérifié ne peut pas se modifier. Tout au plus, pourra-t-on préciser et mieux définir ses caractères. Le fait, par exemple, que de nombreuses formes de vie, depuis 3,5 milliards d'années, apparaissent brusquement (et entièrement formées) à différentes époques et que l' Homme soit apparu en dernier est un fait d'observation établi (grâce aux registres fossiles), et on n'y revient plus. En déduire que les premières formes de vie se sont transformés graduellement en d'autres êtres vivants pour donner toutes les espèces vivantes aujourd'hui connue (il s'agit de la théorie de l'évolution), ne constitue en rien un fait scientifique mais une simple théorie. - une théorie scientifique, en effet, est une hypothèse avancée par des hommes de science pour tenter d'expliquer diverses observations et découvertes. La théorie est par nature changeante, et il arrive assez souvent qu'en fonction de la progression des découvertes, une théorie soit modifiée ou remplacée par une autre. Nous pouvons nous en apercevoir quand nous abordons les explications relatives à l'origine de l'Homme: les évolutionnistes, après avoir affirmé pendant des décennies -près de 50 ans- que l'Homme descendait du singe (êtres issus les uns des autres comparativement aux maillons d'une chaîne), considèrent aujourd'hui qu'ils (l'Homme et le singe) descendent d'un ancêtre commun (êtres issus d'un ancêtre commun comparativement à différentes branches issues d'une même origine mais ayant poussé dans des directions différentes; "plusieurs paléoanthropologues -cf "Les débuts de la lignée humaine" de Kate Wong, journaliste à la revue Scientific American, paru dans la revue "Pour la science" n° 307 de mai 2003, p 75- pensent que l'arbre de l'évolution humaine ressemble à un buisson extrêmement ramifié, et que les découvertes récentes correspondraient à des individus placés sur des rameaux terminaux et non sur la branche principale qui a conduit aux humains" ); ils ont été amenés, en effet, face aux découvertes scientifiques réalisées depuis lors, à modifier leur conception initiale.
En fait, la théorie de l'évolution propose des hypothèses avant de rechercher des faits qui puissent "coller" avec l'hypothèse; mais, rien n'a jamais pu être trouvé comme preuves irréfutables que l'Homme et les grands singes aient un ancêtre commun... Au contraire, les recherches effectués en 1994 sur les canaux semi-circulaires de l'oreille interne (organe qui sert également à la perception de l'équilibre donc impliqué dans la bipédie soit la capacité à marcher et à courir debout) des différents fossiles attribués aux prétendus ancêtres de l'Homme par les spécialistes en Anatomie, Fred Spoor, Bernard Wood et Frans Zooneveld, ont établi que ceux-ci étaient soit des singes ordinaires (par exemple, les Australopithèques et les Homo habilis présentés comme des bipèdes permanents -ils avaient une posture courbée similaire à celle des singes modernes ce qui revient à dire qu'ils étaient quadrupèdes-) soit des Hommes semblables à ceux d'aujourd'hui (toutes les catégories d'homo sauf homo habilis -ils avaient un posture droite comme les humains modernes et étaient donc bien bipèdes- ), mettant en évidence l'inexistence de formes intermédiaires entre l'Homme et un ancêtre hypothétique ! (cf F Spoor, B Wood, F Zoonneveld, "implication of early Hominid Labryntine Morphology for Evolution of human Bipedal Locomotion", Nature, vol 369, 23 Jn 1994, p645-648) Qui plus est, P Picq -du Collège de France- avoue, que "dans l'état actuel de nos connaissances, nul ne peut définir avec certitude ce que sont les hominidés (ensemble des paninés -ou grands singes- et des homininés -ou membre de la famille humaine actuel ou disparu- dont les évolutionnistes prétendent qu'ils possèdent un ancêtre commun) et des homininés" (cf "les débuts de la lignée humaine" de K Wong dans la revue "Pour la science" n° 307 de mai 2003, p 74) , d'où la classification des fossiles découverts à ce jour et placés parmi les homininés (la cohorte des homininés -comprenant le genre australopithèques au sens large et le genre homo- rassemble plus de 17 espèces alors qu'il n'y a aucun fossiles sur celle des paninés) sous prétexte qu'ils comportent "au moins un caractère jugé propre à la lignée humaine" (cf "les débuts de la lignée humaine" de K Wong dans la revue "Pour la science" n° 307 de mai 2003, p 74), ne repose que sur du vent ! En définitive, la Science n'a en aucune façon apporté la démonstration de la provenance de l'Homme à partir d'un ancêtre commun à l'homme et aux singes -d'où l'évolution buissonnante de l'Homme à partir d'un ancêtre commun n'est aucunement prouvée ! Loin s'en faut- contrairement à la prétention des revues ou livres de vulgarisation ! Par exemple, S Jay Gould dans "Comme les 8 doigts de la main", éd Seuil, 1996, collection "science ouverte" affirme que : "L'échelle et le buisson, métaphores respectivement inexacte et correcte pour représenter la configuration de l'évolution, permettent de résoudre cette question qui revient tout le temps et qui n'est pas, en réalité, une énigme : pourquoi les représentants des groupes ancestraux (par exemple, les Grands Singes) survivent à côté de leurs descendants (l'espèce humaine, par exemple) ? Puisque l'évolution est un buisson trés touffu, l'apparition de l'Homme à partir des Grands Singes a signifié simplement le détachement d'une branche à partir du buisson des Grands Singes, branche qui a finalement produit un petit rameau appelé Homo sapiens, tandis que d'autres branches du même buisson ont évolué de leur côté par dichotomie, pour donner les autres descendants qui ont les mêmes ancêtres communs récents que nous." (cf "enseignement scientifique 1ière L, éd Hachette éducation, 2001, p229) |
Les découvertes qui, aujourd'hui, se multiplient, prouvent donc et chaque jour davantage, l' impuissance des scientifiques à pouvoir prouver par des faits dûment établis l'hypothétique évolution de l'Homme à partir de créatures ressemblant aux singes !
C'est pourtant cette théorie de l'évolution brumeuse que l'école, la télévision, les musées, certains livres... enseignent depuis près de 150 ans comme une vérité scientifique !
L'école, la télévision, les musées, certains livres enseignent que les singes sont nos cousins. Ils veulent faire croire que les premiers Hommes sont des animaux proches du singe qui se sont transformés en Homme durant des milliers d'années. Pour prouver aux gens cette théorie (idée), il faudrait trouver beaucoup plus de fossiles moitié Homme, moitié singe que de fossiles d'Hommes ou de singes. |
Pour plus de
détails, lire
" L'esprit de fraude des adeptes de l'évolution est à l'origine
de nombreux méfaits et crimes dans le monde "
.
. . pour découvrir comment, par esprit de fraude . . . certains
scientifiques matérialistes -prêts à toute distorsion de la vérité
scientifique pour arriver à leurs fins - ont tenté de faire
croire, sous une apparence scientifique, à la parenté de l'homme
avec le singe ainsi que les conséquences -conscientes ou
inconscientes- qui en a résulté sur
l’humanité ! . . . ceci parce qu’ils se rendaient compte que les fossiles correspondaient soit à des singes, soit à des Hommes et qu'ils ne parvenaient à trouver aucun fossile d'être mi-Homme, mi-singe (forme intermédiaire dont l’existence est aujourd’hui d’ailleurs contesté sans que la théorie ne le soit) ! |
Le musée de l'Homme à Paris annonce que l'Homme et le singe ont des informations génétiques presque identiques. |
Un gouffre infranchissable sépare l'homme du singe ! Pour plus de
détails, lire " La ressemblance Homme-singe est une
tromperie... " |
L'école, la télévision, les musées, certains livres enseignent que des créatures proches du singe ont subi des "mutations génétiques" et se sont ainsi transformées en Homme grâce à ces mutations (erreurs de copie des informations contenues dans le noyau d'une cellule) ce qui revient à dire que, grâce à des erreurs de copies génétiques dues au hasard et transmises aux descendants, des caractères nouveaux apparaissent chez une population d'animaux, puis que, triés par la sélection naturelle, seuls subsistent les individus dotés de caractères plus adaptés . . . jusqu'à ce que -par le temps long de l'évolution- cette population ainsi formée diffère au point de devenir une nouvelle espèce. |
L'Homme et le singe appartiennent à 2 espèces différentes qui ne peuvent se mélanger. Ils ne peuvent avoir ni les mêmes parents (On ressemble à nos parents) ni des parents communs (les mutations aléatoires sont un facteur de destruction de l'information et non un facteur d'évolution). Pour plus de
détails, lire "
Les mutations ne sont pas un facteur d'évolution "
|
En bref, le dessin vu plus haut de "l'échelle de l'évolution qui montre l'homme préhistorique comme une créature ressemblant au singe n'est qu'un mensonge grossier...
Ce n'est que de la propagande venant de certains milieux qui sont dévoués aveuglément à la théorie de l'évolution.
Le biologiste américain Jonathan Wells a résumé ce mécanisme de propagande dans son livre publié en l'an 2000: "les icônes de l'évolution: Science ou mythe, ou pourquoi la plupart de ce que nous enseignons à propos de l'évolution est faux" |
" Le public est rarement informé de la grande incertitude concernant les origines de l'homme qui se reflète dans les déclarations d'experts scientifiques. Au lieu de cela, nous sommes simplement nourris de la dernière version d'une théorie quelconque, sans que l'on nous dise que les paléoanthropologues eux-mêmes ne peuvent se mettre d'accord dessus. Et en général, la théorie est illustrée avec des dessins fantaisistes d'hommes des cavernes, ou d'acteurs humains maquillés." (Jonathan Wells, Icons of Evolution: Science or Myth, Why Much of What We Teach About Evolution is Wrong, Washington, DC, Regnery Publishing, 2000, p. 225 ) |
Dieu a affirmé dans le Qoran, dernière révélation authentique préservée de toute altération pour nous guider sur le droit chemin, qu'il donnera le discernement aux croyants pour faire la différence entre le vrai et le faux, l'apparent et le réel, le bien et le mal.
Les mécréants cherchent à éteindre La lumière de Dieu, mais Dieu étendra quand bien même Sa lumière partout...
L'Univers (espace rempli d'étoiles et de la planète Terre où nous vivons) n'a pas toujours existé. Vint un moment où il a été existentialisé ! Ceci est une certitude scientifique... |
...Découvrons ensemble comment la science nous apprends l'extrême improbabilité de la formation de l'Univers et de la vie suite à des développements hasardeux et l'absence d'un mécanisme d'apparition des êtres vivants par divergence les uns les autres. |
Si la science ne démontre pas -elle ne la dément pas non plus- la création de l'Univers (par étapes) à partir du Néant par l'ordre divin " SOIT ! " (S 2 v 117), elle n'accrédite pas plus la théorie de l'évolution par le hasard proposée par les incroyants !
Par ailleurs, loin d'accréditer la théorie de l'évolution par le hasard proposée par les incroyants, la science témoigne que tous les équilibres de l'Univers ont été conçus de manière à entretenir la vie humaine ainsi que Dieu nous l'apprends dans le Qoran (S 2 v 29-30)
La matière inerte apparue lors du Big Bang a été organisée par celui-là même qui l'a existentialisé, dans un certain but et selon un équilibre, une harmonie et un ordre Glorieux !
Quant aux premières formes de vie ( les bactéries unicellulaires ), elles sont apparues il y a 3,5 milliards d'années !
Autrement dit, la vie sur Terre non plus n'a pas toujours existé !
Loin d'accréditer la théorie de l'évolution par le hasard proposée par les incroyants, la science met en avant l'impossibilité pour des êtres vivants d'avoir jamais pu évoluer à partir de matières inertes ainsi que le gouffre infranchissable séparant une espèce d'une autre.
Le biologiste Louis Pasteur (1822-1895) a mis en évidence, grâce à ses travaux, que la vie ne peut pas provenir de "la matière inerte" (non vivante) mettant ainsi fin aux allégations mensongères des évolutionnistes qui prétendaient que les premières créatures vivantes se sont formées spontanément à partir de matière inanimée.
"Les expériences de Pasteur (en 1862) vont sonner le glas du dogme de la génération spontanée." (d'après "l'apparition du vivant" de F Raulin, éd Presse Pocket, 1991, p18)
Pasteur souligne ainsi de manière lapidaire : "l'affirmation qu'une matière inanimée puisse générer de la vie est enterrée dans l'histoire pour de bon." (d'après Molecular Evolution and The Origin of Life, de S Fox et K Dose, éd M Dekker, 1997, p 2)
Les paléontologues ont également reconnu l'inexistence de formes intermédiaires -sans abandonner pour autant la croyance en l'évolution désormais étayée par des arguments plus proches de la philosophie que de la science- (où "chainons manquants" cf HS de S&Avenir d' avril/mai 2005, p 60 : "Pithecanthropus érectus : des prix nobel découvrent le chainon manquant") dans le registre fossile fermant ainsi la porte aux évolutionnistes qui prétendent que les premières formes de vie se sont transformées graduellement en d'autres êtres vivants pour donner toutes les espèces vivantes aujourd'hui connue.
Le célèbre évolutionniste D Ager avoue que "si nous examinons le registre fossile en détail, nous ne trouverons -encore une fois- pas d'évolution graduelle, mais l'explosions soudaine d'un groupe aux dépens de l'autre." (d'après "the Nature of the Fossil Record", éd Proceedings of the british geological association, vol 87, 1976, p 133)
Autrement dit, les fossiles révèlent que les êtres vivants (les plantes, les animaux et les êtres humains) sont apparues d'un coup et n'ont pas pu évoluer à partir d'un ancêtre commun.
Le fait que depuis 3,5 milliards d'années (date à laquelle les 1ers organismes vivants (les bactéries) apparaissent ! cf "S&Vie n°1046 bis de Nov 2004; "la vie existait déjà sur Terre il y a 3.5 milliards d'années", p 4), de nombreuses formes de vie apparaissent brusquement à différentes époques et entièrement formées, confirme de manière éclatante le fait que toutes les espèces vivantes ont été créé par Dieu pour être vraiment distinctes les unes des autres et qu'elles n'ont subit aucune évolution depuis le jour où elles ont été crées.
Certaines formes de vie sont identiques depuis des millions d'années, les autres ont pu s'adapter à leur environnement mais sans jamais devenir autre chose qu'un spécimen de leur propre espèce...conformément aux paroles de Dieu dans le Coran : "C'est Lui Dieu qui a donné à chaque Chose sa nature puis l'a dirigée" (Sourate 20, verset 50)
Reste à signaler que les affirmations des évolutionnistes donnant -comme ci dessous- à penser que par le biais des mutations et de la sélection naturelle, le passage d'une espèce à une autre est possible ne constitue rien d'autre qu'un "vœu pieu" et n'est en aucune façon un fait scientifique avéré :
"Chez les êtres sexués, la génération se fait par le mariage entre les chromosomes de deux cellules, l'ovule et le spermatozoïde. Au cours de ce mariage moléculaire, les gènes, qui sont des fragment de chromosomes, se mêlent, ce qui crée la diversité des individus. Au cours de ce brassage, des gènes peuvent être endommagés. Si l'individu survit, ces accidents, ou "mutations" peuvent se traduire par un ou plusieurs nouveaux caractères, souvent défavorables, mais pas toujours. Il arrive qu'une mutation confère un avantage décisif à un individu dans un environnement donné. Cette mutation peut être transmise à ses descendants. De proche en proche, on conçoit que les individus ainsi favorisés soient sélectionnés par le temps long de l'évolution. Peu à peu, la population ainsi formée peut en venir à différer de la population dont elle est issue au point de s'en séparer et de s'engager dans un autre destin génétique, celui d'une nouvelle espèce."
(d'après "L'HISTOIRE" n°328 de février 2008 au titre évocateur "Dieu contre Darwin", p 42)
En effet, aucune voie de passage d'une espèce à une autre n'a jamais pu être mis en évidence, mettant ainsi un frein tant aux allégations des évolutionnistes qu'à celles des évangélistes adeptes du "High Design" lesquels se différencient des créationnistes -c'est à dire ceux qui prennent au pied de la lettre le récit de la genèse en réaction à la théorie de l'évolution- c'est à dire des évangélistes qui -croyant que l'évolution des espèces est établie par la science- opposent à la théorie de l'évolution par le hasard, l'évolution des espèces organisée par une intelligence supérieure pour ne pas dire Dieu.
A noter que l’idée d’une évolution des espèces animales n’est en soi pas incompatible avec les croyances musulmanes comme le fait remarquer avec justesse Mr A A Lala dans son livre "L'Homme descend -il du singe", aux éditions tawhid, 2001, pp 36-40 et pp 20-22 :
"On peut très bien
penser que c’est à partir des êtres unicellulaires existant au début qu’ont
été formées, après des centaines de millions d’années de
modifications, toutes les espèces animales dont certaines vivent toujours
actuellement. Certains savants contemporains pensent même que les versets
coraniques suivants font allusion, dans l’ordre, à des périodes de
modifications qu’a connues la terre, et à l’origine aquatique de la vie
sur terre :
« Dis (aux hommes, ô Mohammad) : Renierez-vous et attribuerez-vous des semblables à Celui qui a créé la terre en deux périodes –voilà le Pourvoyeur de l’univers- et qui a placé sur la terre des montagnes, l’a bénie et a déterminé ses ressources en quatre périodes, en proportion convenable, ceci pour ceux qui sont en quête ? » (Coran 41/9-10)
« Et Nous avons fait de l’eau toute chose vivante. Ne croiront-ils donc point ? » (Coran 21/30)
. . . (cependant) . . . la théorie néo-darwiniste du hasard n’est pas recevable du point de vue des sources musulmanes, qui enseignent que tout se passe non seulement au vu et au su, mais également selon la volonté de Dieu !
« Et pas une feuille ne tombe sans qu’Il ne le sache. » (Coran 6/59)
« [. . . ] Celui qui a donné à chaque chose sa nature puis l’a dirigée. » (Coran 20/50)
« Nulle difficulté n’atteint la terre ni vous-même, qui ne soit [écrite] dans un livre avant que Nous ayons créé [la création] [. . .] » (Coran 57/22)
« [. . .] Ce que Dieu veut est ; et ce qu’Il ne veut pas n’est pas. »
Sur le plan scientifique, la théorie du Hasard est également sujette aux critiques :
1. Le néo-darwinisme n’explique pas l’origine du génome
2. Les mutations génétiques, qui se produisent spontanément dans le génome, n’entraînent que de toutes petites transformations
3. La sélection naturelle agit avec une extrême lenteur
4. La hasard, par définition, agit aveuglément
En revanche, la théorie néo-lamarckienne de l'évolution créatrice, qui explique l'évolution par l'adjonction de nouveaux gènes au patrimoine génétique, "une information nouvelle et extérieure ayant été communiquée à l'organisme, ne pose en soi pas de problème sur le plan des croyances musulmanes. Elle laisse d’ailleurs subsister, sur le plan scientifique, deux énigmes :
1. Comment les organismes très simples du début (telle que la bactérie) ont-ils pu être dotés de cette masse aussi considérable d’informations qu’est le génome ?
2. Comment ce génome a-t-il pu, de la bactérie jusqu’à l’homme, s’enrichir d’une façon aussi considérable et en suivant une apparente orientation ?
Comme l’écrit en substance Maurice Bucaille, « la condition initiale d’un [génome] pour les êtres les plus primitifs et son accroissement par l’introduction de gènes nouveaux (. . .) sont deux énigmes scientifiques. Une telle impuissance de la science déplace l’interrogation du plan matériel sur le plan métaphysique. Dans ces condition, celui qui croit en Dieu se sent particulièrement à l’aise pour suggérer l’intervention de son génie créateur. »
Cette idée de l’intervention de Dieu, aussi bien pour créer que pour faire évoluer le vivant, est tout à fait compatible avec les thèses coraniques : ce monde étant, par la volonté même de Dieu, un lieu de causes et d’effets, il est normal que des mécanismes aussi matériel que les adjonctions de gènes, les spéciations géographiques ou les dérives génétiques soient entrés en jeu dans l’évolution des espèces animales. Mais c’est l’orientation et la perfection que présente cette évolution qui témoignent d’une main invisible, donc d’un plan d’organisation, et finalement d’une présence consciente et intelligente. Cette présence, nous l’appelons : Dieu.
Je penche personnellement néanmoins -mais cette opinion n'engage que ma personne- que si évolution (ou adaptation) il y a incontestablement eu au sein d'une population donnée (d'une même espèce), elle n'a pas forcément (si ce n'est que peu probablement) eu lieu d'un groupe de population donné à un autre soit d'une espèce à une autre.
La science permet enfin d'affirmer que tous les êtres vivants sont dotés d'organes et de systèmes complexes travaillant ensemble, lesquels n'auraient pas pu se former par de nombreuses modifications successives, preuve qu'ils (les êtres vivants) n'ont pas pu évoluer mais sont le résultat d'une Création parfaite et orientée.
L'exemple du pic-vert est
un exemple éloquent de sa création en une seule fois par une Intelligence
supérieure: .
L'exemple du
coléoptère
bombardier est tout aussi convaincant: il est impossible que cet insecte
soit apparu suite à une évolution.
Ces exemples sont tirés de 2 sites chrétiens.
Malgré tous ces signes de la création, l'école, la télévision, les musées, certains livres enseignent depuis près des 2 derniers siècles que l'univers et la vie sont apparus par hasard et ont évolué de manière aveugle pour aboutir à la perfection que nous connaissons . . . |
. . . et ceci est sans aucun doute dû au fait que la plupart des occidentaux aujourd'hui se sont détournés de Dieu parce qu'il était apparu à un certain nombre d'hommes de science, que ce qu'on leur présentait comme provenant de Dieu était erroné sur le plan scientifique. |
En Amérique, l'enseignement de la théorie de l'évolution a été abandonné dans plusieurs Etats, grâce à l'effort de "la coalition chrétienne" proche du parti républicain, aux succès duquel elle a largement contribué dans les années 1990.
Dans les états du Sud de l'Amérique, les protestants s'organisent pour faire interdire l'enseignement de la théorie de l'évolution au collège et au lycée. Tu dois te demander qui sont les protestants ? Ce sont des chrétiens qui se sont séparés de l'Eglise face à ses abus au 16 ième siècle !
La lutte des protestants contre l'enseignement de la théorie de l'évolution au collège et au lycée : Des lois ont été votés en 1925 dans le Tennessee, en 1926 dans le Mississipi, l'Arkansas en 1928, et au Texas en 1929. Comme la "Cour de Justice" déclare anti-constitutionnelles ces lois en 1968 ("interdire le darwinisme, estimaient les juges, revenait à officialiser le point de vue d'une Eglise particulière, ce qui était contraire à la constitution" rapporte la revue "L'Histoire" n°328 de février 2008, p 45), ils réclament alors que soit enseigné la création des êtres vivants à côté de la théorie de l'évolution. Ce qui se fera en Arkansas et en Louisiane. Cela n'empêche pas la Cour de ne pas reconnaître à nouveau la légalité de ces lois au vu de la constitution (on ne saurait donc -disent les juges- enseigner côte à côte le darwinisme et son contraire, car cela reviendrait à privilégier une conception particulière du christianisme). (source : "Les collections de l'histoire n°13 p90) En 1987, avec l'arrêt Edward v. Aguillard, la cour invalide la loi de la Louisiane interdisant aux professeurs d' "enseigner la théorie de l'évolution dans les écoles publiques à moins qu'elle soit accompagnée d'instructions concernant le créationnisme". (source : la revue "L'Histoire" n°328 de février 2008, p 45) La question du dessein intelligent n'a pas été jugé par la cour suprême. Mais un tribunal de Pennsilvanie a interdit, en décembre 2005, l'usage dans les établissements publics d'un manuel présentant le dessein intelligent comme une alternative au darwinisme. En effet, l'Amérique, comme la France et de nombreux autres Etats reconnaissent implicitement ou explicitement déclarent comme religion officielle " l'athéïsme " (le fait de ne pas croire en un Dieu Créateur) en présentant la théorie de l'évolution comme une alternance à Dieu Le Créateur. |
S'il est important que tous les Hommes de bonne volonté associent leurs efforts pour lutter contre le mensonge de la théorie de l'évolution...les chrétiens et les musulmans par exemple doivent s'entraider dans toutes les justes causes...
Il est important que les musulmans fassent connaître au monde la fausseté de cette "théorie de l'évolution" en même temps que la Vérité du Qoran...
car les signes de la création apportés par ces chrétiens protestants ne sont pas écoutées ou considérées crédibles....
C'est que les chrétiens possèdent un Livre Saint altéré: la Bible.
Tu sais que la Bible
n'est pas la parole de Dieu ainsi que les chrétiens eux-mêmes le
reconnaissent: ni
l'Ancien, ni le Nouveau Testament ne sont des révélations directes de Dieu,
mais des Ecritures sacrées contenant l'écho, la transmission des Paroles
Divines par des hommes, parfois très longtemps après les faits évoqués. Les récits de l'ancien Testament ont été écrits par de multiples auteurs sur une durée supérieure à 10 siècles, du 9ième au 1er siècle avant j-C: ils racontent l'histoire du peuple d'Israël sur une période de 19 siècles environ, contemporaine des grands empires de l'Antiquité: l'Egypte, l'Assyrie, la Babylone, la Perse, le Grèce et Rome; On ne possède aucun manuscrit original mais seulement des copies de copies. C'est ainsi que les manuscrits de l'ancien Testament les plus anciens sont en grec et non en hébreux, la langue des Juifs. (cf "le livre de la Bible: l'ancien et le nouveau testament", éd Gallimard, 2003, p 113)
On estime que la rédaction du Nouveau Testament débuta 30 ou 40 ans après la disparition de Jésus, soit d'après "le livre de la Bible: l'ancien et le nouveau Testament", p 343, vers l'an 63 de l'ère chrétienne. Mais ces premiers écrits ne nous sont pas parvenus. Les lettres de Paul, qui ont donné au Christianisme sa forme actuelle, furent écrites avant les évangiles (dès 52-63 après J.-C.). Dans l'article qu'il fit paraitre en décembre 1967 dans la revue Etudes, le cardinal Daniélou explique que "les évangiles de Marc, Matthieu, Luc et Jean -produits de 70 à une période que l'on situe avant 110- ne sont pas les premiers documents chrétiens fixés : les épitres de Paul leur sont bien antérieurs. Selon O. Culmann dans son livre "Le nouveau Testament", Paul aurait rédigé en 50 son épître aux Thessaloniciens. Mais il avait disparu sans doute depuis quelques années lorsque l'évangile de Marc fut achevé." (cité par M Bucaille dans "La Bible, le Qoran et la science", éd Seghers, 1976, p 62-63) Les plus anciens manuscrits que nous ayons à notre disposition datent des troisième et quatrième siècles. (à part quelques bribes de manuscrit de Nouveau Testament daté de 125 après J-C ). Le Nouveau Testament était alors écrit en grec, qui était parlé dans la partie orientale de ['Empire et non pas en araméen, la langue de Jésus et des disciples, langue sémitique proche de l'hébreu, de l'arabe et de l'assyrien. Les versions grecques de l'évangile original araméen (oral), ont introduit des concepts hérités de l'héllénisme, étrangers aux modes de pensées et d'expressions sémitiques. En outre, les récits du nouveau Testament ont été rédigé sur plus d'un siècle après la disparition du prophète Jésus-christ (Isa sur lui la paix divine) dans une atmosphère de lutte politique entre les "Judéochrétiens" et les "chrétiens Pauliniens" qui ont grandement influencé leur rédaction d'où leur qualificatif "d'écrits de combat" par le cardinal R.P. Kannengiesser et dont les nombreux auteurs n'ont pas toujours été identifiés avec certitude. Le cardinal Daniélou précise dans l'article qu'il fit paraitre en décembre 1967 dans la revue Etudes que "ces écrits de combat" ont émergé de la multitude des écrits parus sur Jésus, lorsque le christianisme de style paulinien définitivement triomphant constitua son recueil de textes officiels, le "Canon" qui exclut et condamna comme contraires à l'orthodoxie tous les autres documents qui ne convenaient pas à la ligne choisie par l'Eglise (cité par M Bucaille dans "La Bible, le Qoran et la science", éd Seghers, 1976, p 64). De ce fait, les récits de la Bible contiennent de nombreuses erreurs, faussetés et contradictions à cause de leur non conservation, résultant d'une part, de l'erreur humaine des scribes, d'autre part, de la multiplicité de leur sources (auteurs) et enfin, de l'instabilité politique à l'époque de leur rédaction . Il n'est pas surprenant de constater dans l'Histoire humaine, l'altération des Livres Saints et du message divin apporté par les prophètes ou messagers, ne serait-ce que par l'ajout des scribes de commentaires, de mythes populaires ou de récits inventés dans le souci de "clarifier" le texte pour leurs contemporains ou dans un but moins avouable soit idéologique soit politique... De même que l'Homme peut détruire et faire du mal dans l'oubli de Son Seigneur ou par orgueil, de même, il peut oublier une partie du message divin, le faire disparaitre ou l'altérer sciemment, et ceci d'autant plus facilement quand le texte n'est pas mis par écrit immédiatement. Seul un 'miracle' peut empêcher une oeuvre de disparaître avec le temps ou d'être altérée. " Dieu a donc réalisé ce miracle pour le Qoran, qui est un miracle en soit ! Le Qoran étant le Message définitif, Dieu l'a protégé plus que tout autre et a laissé les autres s'altérer dans les mains corruptrices des Hommes et ceci afin que seul le Message Final (le Qoran) demeure comme loi, comme autorité morale incontestable pour toute l'humanité jusqu'au jour de son Jugement". (Didier Hamoneau, dans son livre "la Torah, l'évangile et le Coran", éd Créatif Livres, 1993, p62)
Les Livres antérieurs au Qoran ont tous, soit disparu, soit été altérés. Les plus anciens sont complétement effacés, les plus récents fortement endommagés. " Le Coran constitue fondamentalement et solennellement, le Livre le plus important qui est parvenu à l'humanité. Avant lui, la Bible et d'autres ouvrages antiques sont venus annoncer des prescriptions dont certaines ont été perdues et d'autres remaniées pour servir certaines causes et en desservir d'autres. Le travail de réfection qui a été entrepris par la suite, afin de donner une nouvelle unicité à ces documents, s'est heurté aux nombreuses écoles qui professaient des doctrines différentes et avaient des intérêts divergents. La multiplicité des pôles de décision s'est traduite par la formation de plusieurs variantes de l'Ancien Testament, complétées plus tard par de nombreuses versions de l'Evangile, dont quatre d'entre elles sont considérées comme canoniques, et d'autres, plus nombreuses, qualifiées d'apocryphes pour leur contenu divergeant. Les commandements de la Bible découlent directement du Message divin et s'adressent à de nombreuses communautés issues les unes des autres, sur une période de plusieurs siècles, et qui se termine par l'Evangile de Jésus. Il n'existe aucune trace écrite de ces enseignements, mais seulement des copies de copies, les manuscrits secondaires. Si la révélation biblique s'est prolongée durant des siècles, la divulgation du Coran n'a duré que vingt-trois ans et tous les messages communiqués ont été consignés en leur temps par écrit. Certains musées ou bibliothèques détiennent jusqu'à ce jour des manuscrits originaux, écrits il y a quatorze siècles, alors que le Prophète Mohammed était encore en vie."(d'après Mohammad Kassab dans " les versets authentiques " , éd La Lanterne, p 47)
De toutes les religions, seul l'Islam a su préserver son Livre de l'altération, de la dissimulation et de la destruction. Le Coran d'aujourd'hui est identique point par point à celui qui a été révélé il y a quatorze siècles. Aucune lettre n'a été ajoutée, retranchée ou modifiée. Chaque lettre des copies manuscrites originales a sa correspondance exacte dans les copies disponibles de nos jours. " Plusieurs versets confirment l'inaltérabilité du Livre Sacré, dont l'archétype (ou original appelé "la mère du Livre"), se trouve auprès de Dieu. Voilà qui suffit à garantir son authenticité et sa pérennité... Le fait que, depuis 14 siècles, le Coran soit demeuré vierge de toute corruption et qu'aux quatre coins du monde, les musulmans lisent le même texte, ne prouve t'il pas que le Coran est sous la protection de Dieu ? Le Coran ne peut plus étre modifié, car il est le dernier Message que Dieu a fait parvenir à l'humanité, et doit rester en vigueur jusqu'à la fin des temps. Afin que les générations à venir ne soient pas privées de la possibilité d'en prendre connaissance. Quand bien même nombre d'entre les hommes s'avèreront étre des adversaires acharnés de l'Islam. " (M. Kassab, dans ' Gloire à Dieu ou les 1000 versets scientifiques', p433)
Pour revenir à la Bible, il est donc naturel qu'étant écrite par des Hommes faillibles, cette Bible d'origine humaine comporte des erreurs et des contradictions; on peut citer comme exemple l'introduction des mythes et légendes anciennes païennes concernant la vie et l'univers dont étaient imprégnés les scribes.... Ainsi, le récit de la création de la Terre en 6 jours qui précède la création d'Adam et Eve n'est pas crédible telle qu'elle est écrite dans la Bible (par exemple la création du jour et de la nuit avant la création des étoiles comme le Soleil qui donnent la lumière du jour).
Par contre, le Qoran, d'origine divine, ne comporte aucune contradiction ou erreurs et pour reprendre l'exemple précédent, l'ordre de création des cieux et de la Terre est tout-à-fait conforme aux données scientifiques irréfutables que nous possédons aujourd'hui...
De plus la confrontation des versets du Qoran avec la science et l'histoire se fait non seulement d'une manière tout-à-fait sereine, mais bien plus plus, elle apporte un éclairage interessant sur la provenance divine du Qoran. Le fait que le Qoran contienne des vérités scientifiques et historiques inconnues à l'époque et jusqu'à une époque récente, ajouté au fait que les mythes relatifs à l'univers erronées de l'époque n'apparaissent jamais dans le Qoran, est une preuve parmi d'autres, que les paroles du Qoran sont révélées par un être transcendant, divin, et qu'elles ont été préservées de la falsification humaine.
Dieu, dans le Qoran, nous demande de méditer sur le Qoran jusqu'à être convaincu qu'Il s'agit de Sa Révélation, et nous donne ainsi un moyen irréfutable de jauger l'authenticité d'un Livre Saint. "Que ne soumettent-ils donc le Qoran à une profonde étude? et s'il provenait d'autre que Dieu, ils y trouveraient certainement des contradictions abondantes". (Sourate 4, verset 82) " En outre, dans 750 versets (près du huitième, du Livre), le Qor'an exhorte les croyants à étudier la nature, à réfléchir, à utiliser au mieux la raison dans leur quête de l'absolu et à faire de l'acquisition des connaissances et de la compréhension scientifique un élément de la vie communautaire...ces versets sont bien plus nombreux que ceux qui ont trait à la prière, au jeûne, au pélerinage...etc tous réunis, au point que le Prophète (PSDL) a insisté sur le fait que la quête du savoir et de la science est une obligation pour tout Musulman, homme et femme. " (d'après "L'Islam et la Science" de M Abdus Salam, prix Nobel en physique, publié par la revue "Le musulman" n°3 du printemps 1988, p 20-24, lequel article est extrait d'un document Unesco "La Science aux confins de la connaissance : le prologue de notre passé culturel", Rex-86/WS-23) Et sous l'influence de ce Message, les musulmans se sont mis à étudier la nature avec minutie. C'est ainsi qu'est né l'esprit scientifique de l'observation et de l'expérimentation qui était alors inconnu des savants grecs de l'Antiquité, dont les connaissances confluèrent vers le monde Arabe depuis Alexandrie pour y être traduites. Hormi quelques initiatives isolées, et à l'exception du domaine de la médecine (dont une pratique « savante », héritière de la médecine grecque, est attestée dès l'avènement de ['Islam), les Arabes n'ont commencé à prendre connaissance des héritages scientifiques anciens qu'à partir de la fin du VIII ième siècle C'est avec les premiers califes abbassides que la traduction connaît une véritable impulsion. Le calife aI-Mansûr (754-775) est le premier à financer des traductions d'ouvrages scientifiques indiens puis d'écrits philosophiques grecs. Trois de ses successeurs lui emboîtent le pas : al-Mahdi (775-785), puis Hârûn ar Rashîd (785 809) et surtout al Ma'mûn (813-833). (Source : " L'âge d'or des sciences arabes" , livret Jeunes exposition publié en liaison avec l'exposition " L'âge d'or des sciences arabes" présentée à l'institut du monde arabe du 25 octobre 2005 au 19 mars 2006, p 5) Si les musulmans héritèrent du Savoir des autres civilisations, particulièrement de celle des grecs, ils dépassent la traduction en faisant intervenir leur esprit critique; ils vérifient, commentent et finalement vont plus loin... "
C'est
ainsi que Ibn Al Haytham (965-1039), brillant astronome en même temps que
médecin spécialisé dans la chirurgie des yeux
a révolutionné la physiologie de la vision.
Avant lui, Ptolémée et Euclide pensaient qu'un objet était
visible lorsque des rayons émanant des yeux tombaient sur l'objet. En
d'autres termes, on croyait l'oeil capable d'émettre des rayons
"visuel" sortes d'excroissances allant palper les objets pour en
rapporter une image.
Ibn Al Haytham
dont le nom fut latinisé en Alhazen montra la fausseté
de cette affirmation et prouva même le contraire, c'est-à-dire que ce sont
les rayons qui vont de l'objet éclairé jusqu'à l'oeil et que c'est lorsqu'ils
atteignent la rétine que l'objet devient visible. Autrement
dit, Ibn al-Haytham
a montré que les images sont dues à la propagation de rayons
lumineux. Le
passage du rayon « visuel » au rayon lumineux marque la naissance de l'optique;
munis de cette idée nouvelle, les physiciens étaient parés pour explorer
le monde de la lumière. (d'après "Introduction à la civilisation musulmane" de M A Khan, éd Al Bouraq, 2005, p 84-85 et "Physique chimie 2nde", éd Bréal, 2000; "du regard au rayon" p 44) Les musulmans ont développé l'observation scientifique, ont classé, inventorié et multiplié les descriptions précises. Ce sont eux les inventeurs de l'expérience au sens strict du mot, ce sont eux les véritables créateurs de la recherche expérimentale... C'est ainsi que le Botaniste et Pharmacien Musulman Ibn Baytar (mort en 1248) écrivait un traité de Botanique après avoir rassemblé des plantes du monde entier (il décrivit près de 4000 médicaments dans son ouvrage "Pharmacopée Islamique" en même temps que 2000 plantes médicinales dont la plupart sont toujours utilisées aujourd'hui après avoir erré 30 ans entre l'Espagne et Damas à la recherche de plantes médicinales) et que Al Biruni (mort en 1048 ap JC) rédigeait un traité de minéralogie après avoir voyagé quarante années durant afin de recueillir des échantillons minéralogiques et que des astronomes musulmans faisaient quelques observations qui allaient même durer plus de douze ans, alors que Aristote lui (mort en 322 av J.C), écrivait sur la physique sans avoir fait une seule expérience au préalable, écrivait sur l'histoire naturelle sans souci de rigueur, sans prendre la peine de s'assurer de la chose la plus aisément vérifiable, le fait que l'homme a plus de dents que l'animal. S'il ne fait pas de doute que la science occidentale est un héritage gréco-islamique, la méthode scientifique ou l'esprit expérimental fut essentiellement le fait de la civilisation islamique...la science (moderne) est la contribution la plus importante qu'ait apportée la civilisation islamique ! "
Il
suffit de lire Al Biruni (973-1048 ap J.C) pour s'en rendre compte; voici ce qu'il dit à
propos d'Aristote (384-322 av
J.C)
: "
L'ennui, en ce qui concerne la plupart des gens; c'est qu'ils ont à l'égard
des opinions d'Aristote une attitude extravagante.
Ils n'admettent pas qu'il puisse s'être trompé, bien qu'ils sachent
qu'il ne faisait que théoriser au mieux de ses capacités " Briffault résume ainsi la situation : "Les Grecs ont systématisé, généralisé et théorisé, mais la patience nécessaire à des observations minutieuses et prolongées et à la recherche expérimentale était totalement étrangère à leur tempérament... Ce que nous appelons science est le produit de méthodes nouvelles d'expérimentation, d'observation et de mesure, qui ont été introduites en Europe par les Arabes..." (d'après "L'Islam et la Science" de M Abdus Salam, prix Nobel en physique, publié par la revue "Le musulman" n°3 du printemps 1988, p 21, lequel article est extrait d'un document Unesco "La Science aux confins de la connaissance : le prologue de notre passé culturel", Rex-86/WS-23) Lorsque vers 1100, les Européens s'intéressèrent à la science et la philosophie de leurs ennemis sarrasins, ces disciplines avaient atteint leur apogée. Les Européens durent apprendre tout ce qu'on pouvait alors apprendre, avant de pouvoir à leur tour progresser eux-mêmes. " C'est ainsi que par exemple, jusqu'au XIXe siècle, tous les savants occidentaux dépendaient du travail d'Ibn Al Haytham (mort en 1039 ap J.C) indéniablement considéré comme le père de l'optique moderne, à qui on doit d'avoir montré que la recherche doit associer trois démarches : l'observation répétée des phénomènes physiques, la reproduction de ces mêmes phénomènes en Laboratoire, enfin la théorisation des résultats de l'observation par l'élaboration de lois générales exprimées avec les outils mathématiques. La traduction en Latin de son Traité d'optique, au XII ième siècle, sera riche d'enseignement pour les premiers physiciens européens, qui adopteront ses démarches scientifiques; son oeuvre Kitâb al-Manâzir (son traité d'optique où il décrit les théories de la réfraction, de la réflexion, de la vision binoculaire, de la focalisation par des lentilles, ainsi que les théories sur l'arc-en-ciel, sur les miroirs sphériques et paraboliques, les aberrations sphériques, la réfraction atmosphérique et sur l'apparent grandissement des corps célestes au voisinage de l'horizon terrestre...) a été enseigné et commenté en Europe jusqu'au 17 ième siècle et fut la principale source de Kepler pour son travail sur l'optique au XVII ième siècle...ou encore que 2 des livres de Ibn Baytar (mort en 1248) servaient de base à la botanique... ...la pharmacologie arabe crée en 732 ap J.C, date à partir de laquelle les Arabes font la distinction entre la science de la médecine et celle de la pharmacie restera encore utilisée en Europe jusqu'au 19ième siècle ! (Signalons l'ouverture de la première pharmacie publique à Baghdâd en 754. Par comparaison, la première pharmacie européenne ouvre à Salerne au Xle siècle; à Paris ce sera en 1180) ! " (d'après "Introduction à la civilisation musulmane" de M A Khan, éd Al Bouraq, 2005, p 84-85 et p 31-38 ainsi que " L'âge d'or des sciences arabes" , livret Jeunes exposition publié en liaison avec l'exposition " L'âge d'or des sciences arabes" présentée à l'institut du monde arabe du 25 octobre 2005 au 19 mars 2006, p 23) Cent ans à peine après la mort du Prophète, les Musulmans s'étaient mis en devoir de maitriser les sciences de leur temps. Dès 832 ap J.C, à une époque où l'Europe ne savait pas lire (d'après Joseph Burlot dans la civilisation islamique (éd Hachette, 1982), du 9ième au 12ième siècle, l'europe centrale compte pour le moins 95 % d'analphabètes), le calife Al Mamoun, fils de Haroun ar-Rachîd, fonde à Bagdad un institut de haute étude (Bayt-al-hikma) pour la traduction en arabe des ouvrages scientifiques et philosophiques grecs et sanscrits et pour la recherche. Cet institut était doté d'une bibliothèque comportant 1 million d'ouvrages et possédait un observatoire astronomique. Les Musulmans acquirent ainsi dans le domaine des sciences une suprématie absolue qu'ils conservèrent pendant près de cinq siècles (du 9 au 13 ième siècle : en effet, l'activité scientifique arabe, sauf en Asie Centrale, décline au 14-15 ième siècle...) !
En fait, le Qoran encourage l'esprit scientifique et explorateur et on peut mieux comprendre ainsi le fait que le monde musulman ai pu développer une civilisation brillante au lendemain de la Révélation du Qoran alors qu'au contraire l'Eglise a été la cause du retard scientifique en Europe...D'où le qualificatif de moyen-âge pour cette période par les Européens.
Ainsi, la soif de connaissance qui caractérisa les premiers temps de l'Islam ne dut pas, comme ailleurs dans le monde, mener une lutte pénible contre la foi traditionnelle pour s'affirmer elle-même. Au contraire; elle était issue de cette foi. " Le Prophète arabe a dit que la recherche de la connaissance est un devoir très sacré pour tout musulman, homme et femme. Et ses disciples furent amenés à comprendre que ce ne serait que par la connaissance qu'ils pourraient le plus complètement adorer le Seigneur. Quand ils méditaient cet enseignement du Prophète disant que Dieu n'a créé aucune maladie sans créer aussi un remède contre elle, ils comprenaient que, par la recherche de remèdes jusque-là inconnus, ils contribueraient à un accomplissement de la volonté de Dieu sur la terre. Il en résulta que la recherche médicale prit le caractère sacré d'un devoir religieux. Ils avaient lu ce verset du Coran : Nous avons créé toute chose vivante à partir de l'eau et, dans leur effort de pénétrer le sens de ces paroles, ils commencèrent à étudier les organismes vivants et les lois de leur développement. Ils posèrent de la sorte les fondements d'une science : la biologie. Le Coran désignait l'harmonie des étoiles et de leurs mouvements comme des témoignages de la gloire du Créateur; dès lors les musulmans se mirent à l'étude de l'astronomie et des mathématiques avec une ferveur qui, dans d'autres religions, aurait été réservée seulement à la prière. Le système copernicien, qui démontrait la rotation de la terre autour de son axe et la révolution des planètes autour du soleil, fut élaborée en Europe au début du 16ième siècle (où il souleva la colère des hommes d'Église qui y virent une contradiction de l'interprétation littérale de la Bible). Mais les fondements de ce système avaient été posés six siècles auparavant dans des pays musulmans. En effet, dès les 9ième et 10ième siècles, des astronomes musulmans étaient arrivés à la conclusion que la terre était sphérique et qu'elle tournait autour de son axe. Bon nombre d'entre eux ont même soutenu, sans jamais être accusés d'hérésie, que la Terre tournait autour du soleil. De même furent étudiées la chimie, la physique, la physiologie et autres sciences. A tout cela le génie des musulmans apporta une contribution impérissable. Ils ne firent d'ailleurs rien d'autre que de suivre les injonctions de leur Prophète : A quiconque part à la recherche de la connaissance, Dieu rendra aisé Ie chemin du Paradis; le savant marche dans la voie de Dieu; la supériorité du savant sur l'homme seulement pieux est pareille à la supériorité de la pleine lune sur tous les autres astres; l'encre des savants est plus précieuse que le sang des martyrs. Durant toute la période créative de l'histoire musulmane, correspondant en gros aux cinq siècles suivant le temps du Prophète, la science et l'instruction n'avaient pas de plus grand défenseur que la civilisation musulmane elle-même et aucune patrie plus sûre que les pays où dominait l'Islam. La vie sociale était également imprégnée des enseignements du Coran. En un temps où, dans l'Europe chrétienne, une épidémie était considérée comme une punition de Dieu à laquelle l'homme n'avait qu'à se soumettre humblement, les musulmans suivaient déjà depuis longtemps l'injonction de leur Prophète leur recommandant de combattre les épidémies en isolant les localités et zones infectées. Et alors que même les rois et nobles de la Chrétienté regardaient le bain comme un luxe presque indécent, même la plus pauvre des maisons musulmanes avait au moins une salle de bains cependant que des bains publics perfectionnés étaient chose courante dans toute ville musulmane (au 9 ième siècle, Cordoue, par exemple, en comptait trois cents). Tout cela correspondait à cet enseignement du Prophète disant que la propreté est partie de la foi. Un musulman n'entrait pas en conflit avec les exigences de la vie spirituelle s'il prenait plaisir aux belles choses du monde matériel, car, d'après le Prophète, Dieu aime voir sur Ses serviteurs une évidence de Sa bonté." (Muhammad Assad, dans son livre "le chemin de la Mecque", éd Fayard, 1976, p177-179) Muhammad Assad, journaliste juif converti à l'Islam, conclut ainsi: "Bref, l'Islam donna un développement énorme à des réalisations culturelles constituant l'une des pages les plus glorieuses de l'histoire de l'humanité. Et ce développement, il le donna en disant Oui à l'intellect et Non à l'obscurantisme, Oui à l'action et Non à la passivité, Oui à la vie et Non à l'ascétisme. Il n'est guère étonnant, dès lors, que, dès le moment où il eut surgi au-delà des confins de l'Arabie, l'Islam ait gagné des adhérents par foules. Nées et élevées dans le mépris du monde découlant du christianisme paulinien et augustinien, les populations de Syrie et d'Afrique du Nord, bientôt suivies par celles de l'Espagne visigothique, se trouvèrent soudain confrontées avec une doctrine qui niait le dogme du péché originel et soulignait la dignité innée de la vie terrestre. Alors elles adoptèrent en nombre croissant la foi nouvelle qui leur faisait comprendre que l'homme était le vicaire de Dieu sur terre. Ce fait, et nullement une prétendue "conversion à la pointe de l'épée", fournit l'explication des saisissants triomphes de l'Islam au matin glorieux de son histoire." En moins de 2 siècles, la religion de l'Islam est diffusée, ainsi que le savoir et le commerce, de l'Atlantique et des bords du Niger aux rivages de l'Océan Indien et aux confins de la Chine.
Du 7ième siècle au 11 ième, de grandes dynasties islamiques, se sont épanouie, créant les plus brillantes civilisations de l'Histoire. Ce ne furent pas les musulmans qui ont fait la grandeur de l'Islam; c'est l'Islam qui a fait la grandeur des musulmans. Mais dès que leur foi devint routine et eut cessé d'être un programme de vie mis consciemment en pratique, l'élan créateur qui étayait leur civilisation déclina, laissant graduellement la place à l'indolence, à la stérilité et à la décadence culturelle. Le message de l'Islam révélé en Arabie Saoudite n'a été propagée du vivant du prophète (SBDL) et des 4 califes bien guidés après sa mort (cf "Toutes voiles dehors à la rencontre du message coranique" de N Yassine, éd Alter, 2003, p 337 : la mort du 4 ième calife marque la fin d'une ère où le pouvoir était au service du message) que par le biais du commerce et des ambassadeurs...
On sait de source certaine, que le prophète et les musulmans, ont formé une armée prête à répondre à toute agression, aprés 13 années d'oppression, mais qu'ils n'ont jamais mené de guerre offensive. Le seul but du prophète a été de propager le message de l'Islam, et de lutter contre les rois et les gouverneurs autour de l'Arabie, qui, ayant refusé de se convertir avaient également refusé aux musulmans l'autorisation de pénétrer dans le pays pour inviter le peuple à l'Islam, ou assassinait les convertis, ce qui constituait une déclaration de guerre à l'époque et une atteinte à la liberté humaine contredisant les droits de l'Homme.
Il faut rappeler ici qu'il n'existait alors aucun autre moyen de divulguer la foi nouvelle à l'époque du prophète Mohammad tels que la radio, la télévision, internet et les librairies, ni de moyens de déplacement aussi rapide que la voie ferrée ou aérienne...
L'expansion arabe qui suit la mort de Mohammad (SBDL) est fulgurante, mais il convient de signaler que les conquêtes arabes ne sont pas le fait de l'islam puisqu'elles n'ont commencé qu'avec les Omeyyades (dynasties de Califes régnant à Damas de 661 à 750, qui fut le début d'une ère où le pouvoir asservit le Message au lieu d'être à son service.) " Ces musulmans venus tard à la foi (pendant la prise de la Mecque) avançaient doucement mais sûrement vers la conquête du pouvoir, procédant par élimination, au sens figuré comme au sens propre. Ils défendirent l'idée que la famille du Prophète était l'héritière naturelle. Allant jusqu'au bout de cette logique funeste, ils n'hésitèrent pas à assassiner les petits fils du Prophète ou à les pourchasser afin de rester la seule proche famille du Messager." (d'après "Toutes voiles dehors à la rencontre du message coranique" de N Yassine, éd Alter, 2003, p 303; p 341)
La religion islamique interdit l'agression et la violence, et autorise la défense : "Combattez dans la voie de Dieu ceux qui vous combattent. mais ne commettez point d'injustice en les attaquant les premiers car Dieu n'aime point les agresseurs" (s2 v190). "Celui qui tuerait un homme non coupable d'un meurtre ou un délit sur la terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. Et quiconque fait don de la vie à un homme, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes". (S5V32) " Et, sauf en droit, ne tuez point la vie que Dieu a rendu sacrée". ( S17 V33 )... Si Dieu en effet, interdit le crime et l'assassinat dans le Qoran, riposter à une injustice est un droit: "et qui, atteints par une injustice, ripostent" (S42 V39) Revendiquer de gouverner au nom de Dieu est un droit, s'il est scrupuleusement respecté. Mais ce même droit ne saurait cependant justifier de moyens honteux pour arriver à cette fin (violence, crime d'innocents) " Faut-il distinguer entre Islam et histoire des pays musulmans? Si les Omeyyades (ou Califes de Damas) ont fait des conquêtes pour étendre l'empire musulman, les «conquêtes» au temps du prophète et des 4 califes bien guidés avaient pour but d'ouvrir les terres à l'Islam et de garantir la liberté des peuples de l'embrasser et non de conquérir les terres dans l'acception classique du concept. Le terme "conquète" est utilisé pour les manoeuvres militaires du prophète et des 4 califes bien guidés à contre-coeur puisqu' on ne trouve pas d'équivalent en français du mot "foutouhate" qui veut dire littéralement « ouvertures ». (d'après "Quel Islam apprends-t-on à nos enfants ?" extrait du courrier international n° 568 du 26/09/2001 par Moustafa al Halougi, professeur d' Al Azhar, disponible sur http://www.aceiweb.org/apprendre.htm ; d'après "Toutes voiles dehors à la rencontre du message coranique" de N Yassine, éd Alter, 2003, p 280) Il convient de ne pas mélanger l'histoire des musulmans (qui n'a pas toujours été conforme avec l'esprit des versets du Qoran et des hadiths ou recueil des actes et parole du Prophète Mohamad-saw-), des préceptes de l'Islam. "Il n'en reste pas moins vrai, que l'examen de l'histoire islamique -et ceci quelle que soit l'époque envisagée- permet d'observer qu'au fur et à mesure de leur conquête, les musulmans ont généralement instauré un milieu libre et tolérant, conformément aux principes enseignés dans le Coran." (d'après l'historien Imad Addin Khalil dans la revue "Colombus" de mai 2002; "L'histoire islamique dans son ensemble est marquée par le respect de l'autre" p 27) En effet, Allah interdit aux musulmans de convertir les non musulmans par la force comme le prouve le verset : "Point de contrainte en religion" (s2/v256)... "Les communautés religieuses purent pratiquer leur foi et leur culte et elles furent gouvernées par leurs chefs, selon leurs propres lois religieuses, dans des domaines tels que le mariage, le divorce et l'héritage. En retour, elles durent payer un tribut, une capitation (jizya) qui leur assurait la protection musulmane contre l'agression extérieure et qui les exemptait du service militaire contre leurs concitoyens. Ils furent donc appelés "les protégés" (dhimmmi)."( John L.Esposito, professeur en matière de religion et de Relations internationales, dans "Islam: The Straight Path", p34) Le monde musulman a développé une civilisation si brillante, au lendemain de la Révélation du Qoran, avec ses découvertes scientifiques et son art à une époque où l'Eglise Chrétienne maintenait les habitants de l'Europe Occidentale verrouillés dans les ténèbres de l'ignorance et de la superstition, qu'elle a grandement influencé les Européens et a largement contribué à les faire sortir du Moyen-Age.
Si la rupture du monde musulman avec ses références religieuses islamiques a provoqué son déclin, c'est au contraire la rupture avec les références religieuses chrétiennes qui eut l'effet d'une libération salvatrice sur la société européenne et son essor... Comme le christianisme ne sépare pas, dans les Textes Sacrés, la part proprement divine, la part proprement prophètique, et la part proprement interprétative (exégèse des disciples dans leurs épîtres), et désigne l'ensemble de la Bible comme"Parole de Dieu", cela a conduit les Eglises à une inadaptation croissante aux sociétés humaines. Cette inadaptation s'est soldée pendant un certain temps par un recours à la terreur pour faire taire tout effort d'interprétation, puis, après la perte du pouvoir politique, par une dissolution de son influence spirituelle sur les masses et le devenir des sociétés. Ainsi les Eglises ne peuvent plus endiguer la dérive matérialiste où sombre l'Occident et les parties du Tiers-monde qu'il a subjugué.
Si tant de gens en Occident croient aujourd'hui à la théorie de l'évolution, ce n'est pas seulement parce que c'est ce qui est enseigné dans les écoles et les universités. C'est surtout à cause du rejet de l'Eglise et de son livre Saint "la Bible", depuis les abus commis par l'Eglise au nom de la Religion et depuis la perte de crédibilité en une Bible falsifiée au cours de l'Histoire. Par exemple, on ignore la date même approximative de l'apparition de l'homme sur la terre, mais on a découvert des fossiles humains que l'on situe, sans aucun doute possible, antérieurs à 1.6 millions d'années avant l'ère chrétienne. On ne peut donc retenir comme compatible avec la science la réalité du texte biblique de la Genèse donnant des généalogies et des dates qui font situer l'origine de l'homme (la création d'Adam) environ trente-sept siècles avant Jésus-Christ, La science pourra peut-être donner dans le futur des précisions de dates plus grandes que nos évaluations actuelles, mais on peut être assuré qu'on ne démontrera jamais que l'homme est apparu sur la Terre il y a 5736 années, comme le veut, en l'an 1975, le calendrier hébraïque. Les données bibliques concernant l'ancienneté de l'homme sont donc fausses. Dans
le Qoran, la mention de la Création d'Adam et d'Eve n'est accompagnée
d'aucune date ou repère chronologique que ce soit. D'où la Bible n'étant pas plus convaincante et satisfaisante que la théorie de l'évolution, les gens ne croient pas en la Bible et continuent à croire en l'évolution des espèces par le hasard..
Il est évident que même si les chrétiens protestants se sont détachés de l'Eglise et de l'autorité papale, il n'en reste pas moins attachés à la Bible, dont nous avons vu qu'elle est en contradiction avec la science du fait de sa non conservation au cours du temps; il en résulte que les chrétiens protestants ne sont pas (ou guère) crédibles aux yeux de leurs contemporains, quand ils affirment que l'univers n'est pas l'oeuvre d'une évolution aveugle et dirigée par le hasard, mais l'oeuvre de Dieu telle qu'elle est décrite dans la Bible discrédité.
Seule une présentation objective du Qoran, seul Livre Saint à avoir survécu complètement intact, peut guider l'Homme vers Son Créateur par une foi éclairée. Si l'Occident est sortie du moyen-âge, grâce à sa rencontre avec le monde musulman, dont les progrès intellectuels, scientifiques et culturels influencèrent les esprits des Européens, le monde moderne quant-à lui ne peut aujourd'hui sortir du matérialisme qu'en revenant aux source divines, c'est-à-dire, le Qoran qui est la dernière Révélation de Dieu aux Hommes; par ailleurs, il est urgent du côté des pays dits musulmans de revenir à l'essentiel du message Qoranique et de se détacher de l'étau de l'ignorance, du fatalisme et de la passivité où ils excellent depuis le déclin de la civilisation musulmane réduisant l'Islam à une pratique superficielle rigide, n'apportant aucune compréhension profonde de la religion.
Et il ne serait pas surprenant de voir surgir dans un avenir proche une civilisation moderne aux valeurs Qoraniques, au coeur de cet Occident laïc actuel, en quète d'une spiritulité perdue, s'il se réconcilie avec Dieu. L'Etat laïc actuel résulte de la séparation de l'Eglise et de l'Etat dans tous les domaines de la société. Si la laïcité constitue un progrès indéniable dans le contexte historique de lutte contre la dictature de l'Eglise et a libéré les occidentaux de la prison de l'Eglise devenue un instrument de domination de l'Etat, la laïcité dans le contexte matérialiste n'en reste pas moins incapable d'assurer le bonheur à l'être humain qu'elle a coupé de son Créateur. La Laïcité, née de la Révolution française en 1789 et de l'Encyclopédie, est une nouvelle "religion" dont les adhérents sont les laïcs... Si l'Occident s'est libéré de l'entrave religieuse de l'Eglise par la révolution armée, le salut de "son âme" ne se fera pas sans une nouvelle "révolution", cette fois-ci spirituelle ! Les peuples judéo-chrétiens, majoritairement désillusionnés à propos de la sincérité et surtout de la capacité de l'Eglise, à résoudre les problèmes de la vie moderne, ont gardé comme patrimoine ou héritage sentimental religieux les traditions judéo-chrétienne et ont adopté avec conviction et fierté un système, dit laïc, se plaçant au dessus de la Religion, comme nouvelle religion, dans le cadre duquel les laïcs s'organisent comme s'ils concevaient une humanité sans Dieu. Concrètement, la pratique religieuse est devenue "une affaire privée", ne concernant que l'individu et ne pouvant et ne devant en aucun cas, influencer ou entraver la marche voulue du domaine social, économique, juridique et politique, ces derniers domaines obéissant aux lois laïques, pensées pour et par des hommes laïcs, où la Raison remplace le Dogme religieux, l'éthique citoyenne remplace la morale, le libertinage remplace la pudeur et la crainte pieuse, le jeu et l'amusement remplacent la recherche de l'accomplissement des bonnes actions, en bref l'argent, le sexe et le pouvoir se partagent le sens de la vie, et la passion égoïste de l'Homme devient son Dieu, son nouvel objet d'adoration.
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Si les "Etats matérialistes actuels" (ou plutôt leurs dirigeants et autres meneurs) rejettent la croyance en Dieu et acceptent l'évolution comme étant la seule autre explication, ce n'est pas seulement à cause du rejet de l'Eglise et du christianisme dont le message religieux est aujourd'hui déformée, c'est aussi et surtout parce qu'il s'est produit un réel complot contre La Religion Divine, qu'il devient indispensable de dénoncer !
Outre l'éloignement de Dieu comme une conséquence directe du rejet de l'église, de ses abus ainsi que du discrédit de son livre . . . |
. . . le prévisible militantisme qui s'ensuivit à l'encontre des religions divines a contribué à maintenir un amalgame entre l'histoire du christianisme et celui -très différent comme nous l'avons vu plus haut- de l'islam ! |
Le peuple est berné par un petit nombre d'individus qui ont tout intérêt pour conserver leur pouvoir et dicter leurs lois à travers le monde, à ce que continue l'enseignement de cette théorie bien qu'elle soit fausse, comme cette théorie seule rends légitime leur pouvoir et leur système laïc érigé dans le cadre d'une philosophie (pensée) athée.
Il suffit de savoir que toutes les lois en France avant d'être votées, sont préparées et décidées dans les loges (milieux) francs-maçonniques, pour penser tout de suite que les francs-maçons sont les actuels concepteurs sinon acteurs du système matérialiste actuel, où l'Homme ignore Dieu et la raison de sa venue sur Terre !
D'ailleurs, tu ne seras guère surpris d'apprendre que Darwin était franc maçon (cf "Connaitre Dieu par la raison" de H Yahya, éd Arrissala, 2002, p 150).
Tu dois te demander qui sont les francs-maçons ?
Ce sont les membres d' une société secrète d'après le dictionnaire, appelée la franc-maçonnerie:
"Ce groupement a depuis le 18 ième siècle, poursuivi des buts politiques, en Angleterre comme en France, où son action fut importante dans les origines de la Révolution et aussi au 19ième siècle." ("Larousse Classique", éditée en 1957, p 484)
En Décembre 2002, des archives maçonniques volés par le nazis pendant la 2ième guerre mondiale, puis confisqués par des Soviétiques à la fin de la guerre en 1945, sont rendus à la France par Moscou. Des journalistes de Sciences et Avenir brisent des scellés de 60 ans et dévoilent, je cite: "ces documents de première main illustrent entre autres, l'implication de la franc maçonnerie lors de la Révolution française et des combats pour l'émergence du concept de laïcité"(tiré de l'article "les archives secrètes des francs-maçons" du n°672 de Sciences et Avenir p39, février 2003).
Si le rôle instigateur des seuls francs-maçons dans la révolution française est contesté aujourd'hui par de nombreux historiens, il reste que le rôle des francs-maçons contre la religion dans plupart des pays européens et pour l'instauration de l'école laïque est incontestable.
Différence entre la franc maçonnerie française et américaine. Si en France par exemple, la séparation de l'Eglise et de l'Etat a été officielle en 1905, c'est que " la franc maçonnerie française a coupé avec le théïsme (la foi en Dieu). Et cette coupure est nette vers le fin du 19 ième siècle et le début du 20 ième. Au contraire du théosophisme de la franc-maçonnerie anglo-saxonnes qui croient en un grand architecte de l'Univers, la franc-maçonnerie latine sera républicaine et anticléricale. Et on voit bien que la franc maçonnerie est le moteur de tout ça" (propos tiré de la revue Science et Avenir de février 2003, p57) "Tous les pères fondateurs de la nation américaine sont des francs maçons...et c'est d'une loge (maçonnique) de Boston que la guerre d'indépendance américaine débute" (propos tiré de la revue Science et Avenir de février 2003, p53) et "aujourd'hui encore, chaque président des Etats-Unis prêtent serment sur la Bible-maçonnique- de washington" (propos tiré de la revue Science et Avenir de février 2003, p53) , d'où l'inscription "in god we trust = en Dieu nous croyons" sur les billets verts américains qui font référence au Grand Architecte de l'Univers auquel croient les francs-maçons.
La pierre de faîte de la pyramide sur le billet vert de 1 dollar est l'un des plus vieux symboles maçonniques, laquelle impression du sceau s'est faite sur l'ordre de H. Agard Wallace (1888-1965), qui fut par la suite vice président des E-U, en commande en second derrière le président Roosevelt, de 1940 à 1944.
N'avait-il pas déclaré avec une ferveur religieuse aux accents prophétiques comme on l'entend de nos jours chez le président Bush: "Cela prendra encore le temps de la reconnaissance du Grand Architecte de l'Univers avant que la pierre de faîte ne s'ajuste finalement sur la pyramide et que la nation soit en pleine possession de son pouvoir pour être en mesure d'assurer son rôle de leadership sur les nations du monde pour établir le Nouvel Ordre des Ages" . (cf "La face occulte du dollar" disponible au http://www.bibleetnombres-online.fr/dollar.htm) |
L'école laïque française a du lutter contre l'Eglise pour s'imposer et ce sont les francs maçons qui sont les instigateurs de la laïcité et de l'école laïque.
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" Au tournant du XXe siècle, les maçons engagent un virulent combat contre la religion et pour l'école laïque. Avec des accents parfois très actuels. En ouvrant les cartons soviétiques, nous nous attendions bien entendu à retrouver l'un des engagements les plus constants de la franc-maçonnerie, la laïcité républicaine. Mais nous avons été surpris par le ton très virulent et lyrique employé par les maçons pour défendre cette valeur, il est vrai constamment mise à mal. Au-delà des textes rappelant l'oeuvre fondatrice de Jules Ferry, nous découvrons une littérature très anticléricale, à peine imaginable de nos jours. Citons notamment une lettre d'Anatole France, président de la Fédération des jeunesses laïques intitulée « Appel contre la religion ». "La laïcité implique la Lutte. La Lutte implaccable. La Lutte sans merci contre tous les dogma-tismes autant que toutes Les servitudes intellectuelles, économiques ; contre toutes les formes de réaction morale et sociale. Nous combattons Les Religions parce qu'elles éternisent dans le coeur de L'homme des croyances et des haines absurdes. Parce que leur dogme est le principal obstacle que rencontre la raison humaine dans son libre essor, dans son ascension vers des vérités toujours plus larges, par ce que leur morale, morale d'égoïsme, morale de haine, est une insulte continue au sentiment de fraternité qui croît chaque jour dans les consciences. [...] « Nous combattons le militarisme, parce que nous ne pouvons admettre cette atteinte permanente de la dignité de la personne humaine qu'est le dogme de L'obéissance passive [...] Nous combattons enfin notre inique organisation sociale parce que, jeunes, nous sommes épris de Liberté, de vérité, de fraternité, parce que notre société est bâtie sur la servitude, sur lemensonge, sur la haine. Ses préjugés sont, comme la morale religieuse, une insulte continuelle de notre raison, à notre coeur. » Une diatribe que ne pourraient plus reprendre aujourd'hui que des militants d'extrême gauche... Dans le même ordre d'idée, les archives contiennent aussi un appel «lobbyiste » du Grand Orient daté de 1904 et destiné aux frères députés pour qu'ils votent la loi du monopole universitaire (si naturel à nos yeux) : « Considérant que de la direction de l'enseignement dépend L'existence même des sociétés modernes, considérant que le droit d'enseignement doit être considéré comme un service public et non un droit individuel, Les Loges en Tenue Collective émettent le voeu que tous Les députés et sénateurs francs-maçons emploient tous les efforts pour obtenir du Parlement le vote du Monopole Universitaire. » L'anticléricalisme maçon se retrouve même où ne l'attend pas, c'est-à-dire dans les colonies où certains documents archivés évoquent la nécessité de remplacer les missions religieuses par des missions républicaines. En 1934, la loge Atlas de Marrakech s'inquiète ainsi de l'école laïque en péril et de nombreux maçons réclament déjà l'abrogation de la loi Falloux (1850) ! " B. A. et P. J.-B. (Tiré d'un article de - SCIENCES ET AVENIR- FÉVRIER 2003 p55) |
Comme on le voit, les franc-maçons "latins" ne se sont pas contenté de critiquer l'Eglise et ses abus, ils ont critiqué toute Religion et ont revendiqué comme Religion officielle "l'Athéïsme: le fait de ne suivre aucune religion et de ne pas croire en dieu".
Les francs maçons latins comme anglo-saxons adhèrent à une secte occulte dont les rameaux sont pluriels mais qui luttent tous contre Dieu et Sa religion révélée, pour instaurer une société matérialiste...ils ne croient pas en l'au delà, et ne pensent pas qu'ils auront à rendre compte de leurs actes devant Dieu. Quant à ceux qui prétendent croire en un Grand Architecte de l'Univers (pour ne pas l'appeler Dieu), c'est juste une ruse pour se prétendre les élus de Dieu sur terre et un prétexte pour justifier leur volonté de dominer et de diriger le monde comme le leur dicte leur passion du pouvoir, de la richesse et de la notoriété.
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Le " Dieu avec nous: Gott mit uns " inscrit sur la boucle des ceinturons des partisans d'Hitler en lutte contre les communistes, devient " En Dieu nous croyons: in God we trust " sur le billet vert américains.
Le seul et unique but proposée au peuple par le système matérialiste actuel est de " profiter de la vie par les divertissements et les plaisirs", sans entraver la liberté des autres à satisfaire leurs désirs ". Pendant que "les suiveurs" ne vivent que pour les divertissements et les loisirs, les meneurs de ce système s'enrichissent sur le dos des "faibles et des opprimés" et règnent sans partage.
Les dérives d'un tel système éloigné de Dieu et de la morale religieuse n'a pas besoin d'être commenté. Seuls des Hommes imbus de la crainte pieuse de dieu peuvent être dignes de confiance comme ils tentent d'éviter les actes injustes tout au long de leur vie. En effet quand l'Homme ne craint pas Dieu et ne sait pas qu'un jour viendra où il devra rendre compte de ses actes, cet Homme là pourra commettre les pires violences et injustices sans aucune limite, en essayant de déjouer "la justice des Hommes si imparfaite". La violence la plus connue est celle réalisée par des criminels qui agissent seuls ou en groupe en vue de leurs interêt mais la pire violence et non la moindre est celle orchestrée par un Etat: il suffit aux dirigeants de voiler les buts véritables de leur violence sous d'honorables masques. On peut ainsi invoquer l'humanisme d'un Etat civilisé" dans la politique "d'aide publique" aux pays en voie de développement, quand il s'agit en réalité, de perpétuer une politique post-coloniale (voir "le gaspillage de l'aide publique", par Sylvie Brunel, éd Seuil, 1993 ... ) On peut encore invoquer "la propagation du progrès et de la civilisation scientifique et laïque" chez les "peuples primitifs" demeurés au stade "théologique" selon l'expression de R. Garaudy On peut enfin invoquer "la propagation du respect des droits de l'homme et du droit international " pour déclencher une guerre nationale ou internationale et ceci afin de renverser un gouvernement qui ne favorise pas leur politique économique, c'est-à-dire qui ne leur est pas entièrement dévoué en "béni-oui, oui". |
Il a bel et bien existé depuis le début de l'instauration d'un Etat laïc en France, un véritable complot contre La Religion de Dieu (l'Islam aujourd'hui depuis l'avènement du dernier prophète), et parmi les auteurs de ce complot actuel les francs-maçons sont en première place !
Il ne se passe pas une semaine, voire une journée, sans que des revues anglo-saxonne ou latine vouées ou soumises à ce cercle occulte ne se moquent de Dieu et de sa religion, se glorifiant avec orgueil de toute découverte ou réalisation technologique, plein de l'espoir fou de pouvoir un jour comprendre et créer la vie.
Les meneurs athées du nouvel ordre mondial vouent une guerre à Dieu, contre lequel ils ne cessent de s'opposer, sans réfléchir une seule seconde qu'ils n'échappent guère à la vigilence divine mais que Dieu est patient conformément à Sa Promesse, or Il a fixé le jour du Jugement pour régler les comptes en entier aux Hommes et Dieu ne manque pas à Sa promesse.
Le lobby moderne des francs-maçons luttent encore et toujours activement contre La Religion de Dieu.
La proposition de Darwin (mort en 1882), selon laquelle l'homme est seulement un singe évolué fut largement adoptée par les théoriciens des sciences sociales et les philosophes du 19e siècle parce qu'elle apportait une base « scientifique » à la non-existence de Dieu. Selon eux, la religion a évolué de l'animisme au monothéisme parallèlement à la prétendue évolution sociale de l'homme de son état d'individu indépendant à son état national, et à son évolution physique de singe en homme.
Nous avons déjà signalé l'inexistence d'un mécanisme d'apparition des êtres vivants par divergence les uns des autres (l'Homme n'est donc pas un animal évolué et l'évolution physique d'une créature proche du singe à l'Homme n'a jamais existé sauf dans l'imagination fertile des adeptes de Darwin ) et l'impossibilité d'une évolution due au hasard ...
Il reste à préciser, pour être complet, que le Message de Dieu à travers tous ses prophètes est immuable: Dieu dans le Qoran (S 16 v 36), nous apprends que la substantifique moelle de tous les messages divins a toujours été la réaffirmation de la doctrine et du culte de l'Unicité divine (tawhid), c' est-à-dire le pur monothéisme (la religion n'a donc pas évolué de l'animisme au monothéisme mais c'est toujours le culte monothéiste pur et immuable qui a été altéré; loin d'évoluer comme le prétendent certains théoriciens des sciences sociales, la Religion a au contraire subi une dégénérescence que l'Islam dénonce)
Quelle est la nécessité des révélations successives ? " Dieu ne fait pas les choses incomplètement, imparfaitement ou vainement. Chaque religion révélée ne vient donc pas compléter les religions révélées antérieurement, ni les rectifier ni faire double emploi avec elles. Une nouvelle révélation est en fait un surcroît de miséricorde octroyé par Dieu pour compenser l'évolution de la dégénérescence spirituelle de l'humanité. Ses
principales fonctions sont les suivantes : Elle vient énoncer à nouveau, dans toute sa transcendance, la vérité au sujet de Dieu : vérité doctrinale que les hommes avaient plus ou moins oubliée ou altérée. Et Dieu, dans Sa Science et Sa Miséricorde, réaffirme cette vérité immuable selon les modalités d'expression les plus appropriées à la mentalité du peuple à qui Il s'adresse et les plus adéquates aux circonstances qui ont motivé cette nouvelle révélation. Cet enseignement est en outre plus développé et plus explicite que lors de la révélation précédente puisqu'il vient compenser le déclin sans cesse croissant des connaissances spirituelles de l'humanité. Elle vient confirmer les révélations et les envoyés antérieurs. Elle
dénonce les déformations, les adjonctions ou les amputations que les
hommes ont pu apporter aux révélations antérieures et énonce, en
conséquence, des normes dogmatiques pour préserver les croyants de
telles déviations. Elle
rétablit ainsi le culte monothéiste pur et immuable. Elle vient enfin réactualiser les moyens rituels, au sein desquels la prière occupe une place centrale : moyens d'origine divine qui permettent à l'homme de revenir vers Dieu. Plus l'humanité accentue sa chute l'éloignant de son Seigneur, plus Dieu accroît, de révélation en révélation, ces moyens de retour vers Lui. En outre, compte tenu des difficultés croissantes, inhérentes à la dégradation du monde, qui enserrent toujours davantage le croyant, Dieu, par miséricorde et par faveur, assouplit et facilite de plus en plus les modalités d'accomplissement des actes rituels. En islam, par exemple, le croyant ne relève plus d'aucun clergé et la terre entière est moyen de purification et lieu de prière pour lui. Ainsi, quelle que soit l'adversité qui puisse l'atteindre en cette période de fin des temps, rien n'est en mesure de l'empêcher de pratiquer sa religion. " (d'après " l'attestation de foi " de Yacoub Roty, éd Maison d'Ennour, 2003, p 15) |
En définitive, l'islam est, historiquement, la dernière religion révélée et la mission du prophète Mohammad - sur lui la grâce et la paix - est venue clore le cycle de la prophétie pour l'humanité (cf. Coran 33, 40). L'Islam ne se présente pas en tant que nouveauté. Comme tout envoyé de Dieu, le prophète Mohammad est venu restaurer la Religion pure (Dîn hanîf) et immuable (Dîn qayyim) qui est l'état de totale et confiante soumission (islam) naturelle de l'homme envers son Seigneur, c'est-à-dire le pur monothéisme.
Au Prophète de l'Islam sur lui la grâce et la paix, ainsi que sur tous les envoyés qui l'ont précédé - Dieu ordonne de délivrer une dernière fois l'immuable message : "Dis : Il ne m'est rien révélé d'autre qu'en vérité votre Dieu est un Dieu unique : Êtes-vous soumis ? " (Coran 21, 108).
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Viens découvrir le modèle évolutionniste de la religion et sa réfutation avec B. Philips (tiré du livre "le monothéîsme islamique ou Tawhid", éd IIPH, 1998). |
Au cours de leur histoire, les humains ont eu des rapports divers avec la nature. Dans l'Antiquité, les mythologues attestent du fait que les hommes se sentaient dominés par les éléments.
Bien que les hommes croyaient encore en l'existence du Créateur, ils pensèrent désormais qu'il s'était mis en retrait après avoir créé le monde. Ainsi ils commencèrent à considérer les forces et les éléments de la nature comme des dieux ayant un pouvoir et une autorité indépendantes de celles du Créateur.
Les temps modernes ont complètement inversé ce rapport !
L' Homme ayant acquis le sentiment de dominer la nature (exploitant ses ressources, usant et souvent abusant des biens terrestres qui lui sont confiés), s'est pris tel l'évolutionniste, à considérer que les atomes, le temps, et le hasard sont les causes initiatrices de la vie, ce qui revient à les prendre pour des dieux, alors qu'aucun ne peut créer la vie. Dieu seul possède une telle puissance.
Cette attitude hostile, soit dominé, soit dominant, indique qu'il n'est jamais parvenu à vivre dans une complète harmonie avec son milieu.
" Lorsque l'adorateur reconnaît qu'il a un Dieu, un Créateur qu'il doit adorer, son rôle primordial est de se soumettre entièrement à la volonté de ce Créateur. Et derrière cette idée de la soumission, il y a une philosophie, une sagesse qui est extrêmement profonde par le fait même que toutes les créatures dans l'univers sont soumises à Dieu. L'astre qui suit le parcours de sa trajectoire sur son orbite ou bien la pierre dans sa chute, la plante dans sa croissance, toute chose obéit à la loi divine et l'être humain est lui-même appelé à se soumettre. Mais à la différence des autres créatures, il dispose d'un libre arbitre, d'une volonté et, au niveau spirituel, il a la possibilité de choisir, de se soumettre ou de se rebeller contre l'ordre des choses.
S'il choisit de se soumettre, son comportement, en adoptant la loi, c'est-à-dire en se soumettant à la loi divine qui est exprimée par la révélation, sera conforme à l'ordre voulu par Dieu, et donc il vivra en harmonie avec lui-même d'abord avec son Créateur dans sa relation avec Dieu, avec le milieu dans lequel il évolue. Il pourra ainsi s'épanouir et se développer. Si par contre il se rebelle, les conséquences seront désastreuses parce que la nature elle-même va se retourner contre lui, et dans cet univers, il n'occupera plus la fonction qui lui était destinée lorsque Dieu l'a créé, l'a conçu. Donc, il va être un générateur de désordre. Et c'est ce que nous observons, aujourd'hui, dans le monde dit moderne, à savoir que l'on ne peut pas imaginer une gestion plus désastreuse de l'univers dans la mesure où l'homme détruit son environnement, où l'homme se livre à toutes sortes d'excès. L'homme se condamne de la sorte à subir les conséquences de sa rébellion."
(cf "Sur l'Islam et la barbarie" de Hani Ramadan, éd CIG, 2001, p.14)
" Le progrès ne peut avoir lieu sans la réalisation des trois objectifs divins cités dans le Qoran: peupler et exploiter la terre, établir la justice en tant que vicaire (Responsable ou gérant établi par Dieu sur Terre) et adorer Dieu " comme les a mentionnés l'imam Al Raghib al Asfahani dans " Al Zari'ah Ila Makarim Al Shari'ah "
(cf "Islam, civilisation de demain" le Cheikh Youssouf Al Qaradawî , éd Al Falah, 2000, p 187-191)
" C'est ainsi que l'homme moderne a pu bâtir la terre en faisant d'elle une belle mariée ou plutôt une séduisante maîtresse. Et grâce à la science, il a pu atteindre ce dont il ne rêvait même pas, alors l'orgueil s'est emparé de lui au point de lui faire croire qu'il est maître suprême et que les autres sont des esclaves ou des êtres inférieurs.
Pourtant son progrès n'est que partiel et imparfait puisqu'il est dépourvu des deux premiers facteurs: l'adoration et l'établissement de la justice en tant que vicaire de Dieu sur Terre.
Il est clair que les Musulmans n'ont pas atteint le progrès souhaité car ils n'ont pas exécuté l'ordre divin de bâtir la terre durant les derniers siècles, n' ont pas respecté les lois de la création, et n'ont pas accomplit convenablement le droit en tant que vicaire de Dieu sur Terre. C'est alors que le commandement leur a été arraché, et après avoir été gouverneurs ils sont devenus gouvernés. " (Y. Al Qaradawi dans " Islam, Civilisation de demain " p 75)
En conclusion:
Si les évolutionnistes fournissent tant d'efforts pour tromper les gens avec des dessins représentant des créatures mi-Homme et mi-singe et continuent d'enseigner la théorie de l'évolution par le biais de l'école, des revues scientifiques et des médias, et ceci malgré l'abscence totale de preuves scientifiques que les Hommes et les singes ont des ancêtres communs et même mieux malgré les preuves scientifiques de notre création qui s'accumulent, c'est qu'il doit se cacher derrière cette tromperie une raison fondamentale qui poussent certains meneurs à cacher la vérité.
Il existe un lobbie qui a pour but d'éloigner les gens de leur religion !
C'est bien sûr pour justifier la philosophie matérialiste à l'aide de laquelle sont gouvernés la plupart des pays aujourd'hui.
Reconnaître Dieu et notre création, revient à reconnaitre la nécessité de diriger le pays et les affaires de ce monde à la lumière de la guidance divine, et c'est cela que certains meneurs actuels ne veulent pas.
Les meneurs veulent, à l'instar des pharaons autrefois, profiter de leur pouvoir, de leur richesse et de leur renommé égoïstement, sans avoir à se soucier d'établir la justice, et de partager, et savent qu'il faut pour cela établir des lois et des croyances qui régissent le comportement des Hommes. Ainsi, ils vont exercer un pouvoir croissant sur les masses et ces dernières vont agir sans le savoir dans leurs intérets !
Reconnaître Dieu, c'est reconnaître que nous lui devons tout, y compris notre vie, c'est relativiser notre pouvoir, notre savoir, notre grandeur. Ces Hommes là ne veulent pas avoir à remercier leur Créateur, et préfèrent penser que c'est grâce à leur intelligence, et à leur travail et à leurs relations, qu'ils possèdent ce qu'ils ont !
C'est ainsi, que de plus en plus d'Hommes en arrivent à se suicider facilement quand ils n'obtiennent pas ce qu'ils veulent ! coupé de Dieu, ils pensent que ce qui leur arrive est de leur faute et est définitif. Ils désespèrent parce qu'ils croient que c'est à cause d'un manque d'intelligence ou par un manque de chance qu'ils sont pauvres, malades ou autrement éprouvés, et donc qu'il n'y a aucun espoir...
Dans tous les cas, tous les Hommes, sans exception, même s'ils ne se suicident pas, vivent un trouble intérieur terrible quand ils sont éloignés de Dieu, en dépit de toutes leur richesse ou notoriété !
Les Hommes éloignés de Dieu ont l'âme troublé et ne sont pas heureux, car seule la reconnaissance de Dieu par l'Homme lui procure la paix intérieure.
Dans le coeur de chaque Homme réside l'amour du bien |
Il y a
en tout être humain, quand il dit la vérité ou qu'il est sincère, un
état de paix intérieure qu'il ressent avec profondeur et sérénité.
Dieu a fait aimer cet état au coeur de l'Homme, ce sentiment qu'il est en harmonie avec lui-même quand il sait vivre dans la transparence de son âme et de ses actes. Le péché, quant à lui, se traduit comme une perturbation, une entrave à cette paix. Notre coeur contient la graine de la qualité en même temps que le défaut qui l'accompagne. Chacun se doit de gérer son intimité et de se mettre en route vers son équilibre intérieur. de Tareq Ramadan dans "De l'islam", p36-37; format poche. |
L'Homme balance entre l'oubli de Dieu et le Rappel ! Lorsqu'on oublie Dieu, cela entraine aussi l'oubli de soi.
Lorsqu'on oublie que Dieu est, on finit par ne vivre que pour soi, en soi, dans la pure manifestation de la prison de son égo. |
Nous sommes parfois au centre de nous-mêmes et avons tendance à être égoïstes. L'ego, le « je », peut prendre alors une place prépondérante. Quand cet ego se manifeste trop largement, il se traduit par l'orgueil, la vanité comme il peut s'exprimer par la cupidité, l'amour de l'avoir, souvent par la violence. Nous ne sommes pas naturellement non violents, et toute personne qui a eu ou qui a accompagné des enfants le sait. La normalité de l'être est souvent la violence première, et c'est le travail de la conscience qui mène à la maîtrise de cette violence et à son dépassement. L'épreuve de l'homme se situe donc dans ce combat (djihad), dans ce tiraillement entre l'amour de la transparence et l'attirance vers ses mauvais penchants comme la tentation de la violence, de la cupidité et de l'amour du moi. Ce moi, s'il n'est pas contrôlé, peut prendre toute la place et ne plus savoir ce qu'est l'humilité. Alors la vanité et l'orgueil nient Dieu et écartent le Créateur pour donner toute la place à l'ego. de Tareq Ramadan dans "De l'islam", p38; format poche. |
L'être humain balance donc constamment entre ces deux états: soit il reste en phase avec lui-même dans le respect de la Création soit il réponds aux tentations qui bouleversent l'équilibre de l'être.
C'est ainsi, que les meneurs qui ignorent Dieu comme les suiveurs qui oublient Dieu, ne vivent pas en harmonie avec la nature originelle que Dieu a donné aux Hommes (la fitra) et ils vivent le déséquilibre et la déchirure de leur être qui aspire à reconnaître Dieu et à faire le bien conformément à la guidance de la Révélation divine ! Ils ne parviennent, ni les uns, ni les autres à être le maître de leur être intérieur et suivent les passions de ce monde placées par Dieu comme tentation.
Entre ces deux états, le tiraillement d'un côté, l'idéal de l'autre, nous avons un choix à faire. Ce choix accorde la dignité, et il est l'épreuve et le sens de notre humanité.
Pourquoi la plupart des gens acceptent la théorie de l'évolution ?
C'est par habitude. On a tendance à ne pas réfléchir sur ce qui nous apparait être des évidences !
La plupart des manuels scolaires sont rédigés par des adeptes de la théorie de l'évolution.
A force d'entendre parler de cette théorie depuis notre enfance, que ce soit à la TV, à l'école...on finit par croire qu'il s'agit d'une logique, d'un fait certain que la science confirme.
Par ailleurs, quand des enseignants et scientifiques éminents (endoctrinés eux-aussi) affirment que l'évolution est un fait et laissent entendre que seuls les ignorants refusent d'y croire, combien de profanes oseront les contredire ?
Si tant de gens croient à la théorie de l'évolution, c'est parce que nous vivons une époque matérialiste où les Hommes sont généralement coupés de toute Religion.
Si la plupart des gens croient en la théorie de l'évolution pour l'avoir appris sur les bancs de l'école, qu'en est-il des scientifiques ?
Les scientifiques qui désirent poursuivre leur carrière, n'ont guère le choix.
S'ils critiquent la théorie de l'évolution, qui est l'explication officielle d'un certain nombre de pays, ils ne peuvent obtenir des fonds monétaires (argent) pour poursuivre leurs recherches et se retrouvent au chomage.
" Car «remettre en cause la doctrine darwinienne, c'est la garantie de ne plus publier dans les grandes revues et donc de perdre ses financements de recherche», confirment plusieurs biologistes souhaitant garder l'anonymat. Ce dogmatisme s'explique : la théorie est devenue un véritable système de pensée que pratiquement toutes les sciences de la vie ont adopté. Sa remise en question pourrait avoir des effets dévastateurs. " (Sc et Avenir de Nov 2004, p 58)
Néanmoins, tous les scientifiques ne défendent pas aveuglément la théorie de l'évolution; certains ont gardé une probité intellectuelle, et critiquent la théorie de l'évolution après s'être rendu compte qu'elle est indéfendable scientifiquement !
Attention, nous sommes responsables si nous restons endoctrinés par cette théorie !
Et oui, car en fait, les meneurs comme les suiveurs sont responsables de leur égarement.
Dans chaque Homme, au coeur de son être, notre créateur a placé une lumière intérieure, une disposition naturelle à vouloir aller vers Lui (c'est la fitra), que chacun de nous va chercher à vivre ou à éviter !
Cette lumière est en fait une révélation avant les Révélations !
Il existe en fait 2 Révélations: celle de la Création et celle de la prophétie envoyé par Dieu à diverses époques de l'humanité.
Il nous appartient de réveiller l'étincelle de foi qui brûle au fond de nous par l'observation de la nature ! A ce titre, la nature est un Livre ouvert où chacun peut lire et y voir comme auteur divin, notre Créateur.
L'univers comme Livre ! |
Quiconque regarde un arbre peut n'y voir qu'un arbre. Cependant, dès que l'Homme regarde à travers le regard de l'intimité de la foi, il y voit la manifestation et la présence du Créateur. De même, tous les autres éléments de la création peuvent se révéler des signes (ayat) de Sa présence... Le mot ayat en arabe signifie à la fois "verset" et "signes". Un même terme pour 2 significations différentes, comme si Dieu voulait nous dire que si la révélation coranique est un signe, les signes de la Nature sont une révélation, un livre déployé au regard et à la conscience de l'Homme. de Tareq Ramadan dans "L'islam", p54-55; format poche. |
Il n'est pas de foi accomplie si elle n'est pas confirmée par une raison active et raisonnante. La raison est l'enracinement de la foi !
« Le coeur a ses raisons que la raison reconnaîtra. » |
"Dans la conception musulmane, la croyance est un soufle qui précède la raison. La raison ne vient que renforcer, appuyer, confirmer la certitude intime brûlant au fond du coeur de tout Homme" de Tareq Ramadan dans "L'isalm", p33 , format poche. La raison reconnait ce qui habite déjà le coeur par un travail de prise de conscience au moyen des outils que Dieu a donné pour parvenir à Sa connaissance. de Tareq Ramadan dans "L'islam", p28 , format poche. |
Par le biais de la shahada (profession de foi précédant la conversion, ou reconversion), le musulman porte témoignage que Dieu est Un et qu'il n'y a pas d'autre dieu que Lui. C'est le passage de l'innocence vers la responsabilité, c'est-à-dire du soufle dans le coeur à la confirmation de la raison.
Quand la Dernière Révélation (le Qoran) vient rencontrer et renforcer ce soufle intérieur, alors se rencontrent 2 lumières, celle du Message révélé qui vient rencontrer et éveiller ce soufle intérieur.
Les prophètes ont été envoyés pour enseigner le sens du cheminement, la façon de trouver l'équilibre et la paix intérieure: entre le corps et le coeur, savoir nourir l'un sans oublier l'autre, savoir se rappeler Dieu sans négliger ses préoccupations quotidiennes.
Accepter l'humilité de son humanité renforce l'idée d'un respect et d'une soumission reconnaissante au Créateur.
Le Docteur Tarek Ramadan donne un excellent aperçu de La Religion et des préceptes qoraniques dans son
Livre en ligne "Présentation de l'Islam"
BIBLIOGRAPHIE
1 "Le temps des califes" de Christiane Naffah, p 75 à 81 de la revue "Science et Avenir", Hors serie n°76 de Janvier/Fevrier 1990
2 "Les 4 califes" de H Amdouni, éd Qalam 1993; p 85-95 : Al Foutoûhât sous la direction d' Abou Bakr; p 99-104 : L'assemblage du Coran par Abou Bakr; p 171-193 : L'oeuvre de Omar; p 159-162 : Omar et l'assemblage du Coran
3 "L'islamisme en face " de François Bugat, éd la découverte, 1995
4 "Le problème des idées" de M Bennabi, éd Societe d'édition et de communication
5 "Les conditions de la renaissance" de M Bennabi, éd SEC 1992
6 "Les musulmans dans la laïcité" de T Ramadan, éd Tawhid, 1994.
7 "Le 11 Septembre 2001 : L'effroyable imposture" de T Meysan, éd Carnot, 2002.
8 "La bible, le Coran et la science" de M Bucaille, éd Seghers, 1985.
9 "L'homme d'où vient-il ?", éd Seghers, 1981.
10 "Dar ash-shahada : l'occident, espace de temoignage" de T Ramadan, éd Tawhid, Questions comtemporaine, 2002.
11 "Jihad, violence, guerre et paix en islam" de T Ramadan, éd Tawhid, Questions comtemporaine, 2002.